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Je rêve ma vie
Courrier & courriel…
Publié dans Liberté le 25 - 03 - 2010

Nous vous livrons aujourd'hui un excellent exemple d'un rêve particulier qui retrace la vie d'une personne en utilisant un symbole “la femme”. Rappelons que la femme représente la vie. Quand cette dernière est connue, elle désigne la même personne. Mais quand elle est inconnue, elle représente les bonnes actions.
Les haut et les bas sont biens distincts.
Mehdi
Réponse :
n J'étais debout à côté de mon meilleur ami. Nous étions sur un trottoir large d'environ deux mètres. Ce trottoir sépare deux routes : une assez large (environ huit à dix mètres) à grande circulation et de couleur qui tend vers le clair et la seconde, large également d'environ trois mètres et de couleur sombre (couleur du goudron).
La deuxième route débouche, à notre gauche, sur un parking goudronné. Au fond du parking, il y a une construction un peu sombre qui donne l'air d'être un lieu mélancolique. Cette construction et ce parking sont séparés de la route à grande circulation par des plantes assez denses et hautes d'environ deux à trois mètres, donnant ainsi une certaine discrétion à la bâtisse. Pour moi, dans le rêve, cet endroit ne m'est pas inconnu. C'est un genre de café mal fréquenté dont j'ai entendu parler mais, je n'y suis jamais allé. Ce n'est pas le genre de milieu que je fréquente. Avec mon ami, soudain, nous avons vu une femme dans le parking qui se dirigeait vers nous. Elle sortait obligatoirement de ce café. Cette femme est mon épouse. Elle était plus belle que dans la réalités. Son visage était sans aucune ride, plein et de couleur blanche (plus clair que dans la réalité). Elle était vêtue d'un pantalon noir, classique et assez serré. Une veste classique (croisée) noire avec des rayures fines blanches et verticales. La veste était un peu longue avec une coupe masculine, mais elle lui allait très bien. Elle avait aussi un sac à main noir foncé et un peu brillant qui était suspendu devant elle. La ceinture du sac passe autour de son cou et de son épaule droite. La veste n'était pas boutonnée, mais les deux bouts ne sont pas trop écartés. Cette femme était à environ dix à quinze mètres de nous. Elle n'arrivait pas à se tenir debout correctement. Elle était un peu inclinée à droite et son pied droit était décalé un peu à droite pour tenir l'équilibre de son corps. Elle avait l'état d'une personne ivre. Seulement, pour moi, dans le rêve, elle était droguée. Elle a sorti un paquet de cigarettes de marque More (cigarette très fine et très longue de couleur gris foncé). Le paquet était presque plein, il manquait trois ou quatre cigarettes. Le paquet était ouvert d'une manière non soignée (elle l'a ouvert du centre au lieu du côté par habitude). Elle met une cigarette entre les lèvres et l'allume. En la voyant dans cet état et fumant une cigarette, j'allais me précipiter vers elle, n'ayant aucune idée de ce que j'allais faire. À ce moment, mon ami me retient et me dit en arabe : “Laisse-moi comprendre.” J'ai compris qu'il voulait comprendre la scène et je suis resté immobile. Dans son état, elle n'était pas de profil par rapport à nous mais elle était en face avec l'air d'une personne qui traîne son corps.
Après cela, je ne me souviens plus comment elle est passée devant nous, à quelques mètres seulement (environ deux mètres) et je l'ai suivie des yeux. Plus loin, sur notre droite, elle monta sur le trottoir sur lequel nous étions et s'éloigna. À environ cent mètres de nous, une autre femme l'a croisée du côté gauche. Cette femme est une étrangère pour moi. Elle a des cheveux noirs, de grands yeux noirs avec des sourcils épais et assez larges. Elle est svelte, de teint brun et sa taille dépasse légèrement celle de ma femme. Elle portait un ensemble (une chemise/veste et un pantalon) gris qui tire légèrement vers le vert. La veste est assez courte, demi-manches, avec quatre poches : deux grandes normales et deux petites au niveau de la poitrine.
En croisant mon épouse du côté gauche, cette étrangère se retourna soudainement derrière ma femme et lui arracha un parapluie noir masculin qu'elle (ma femme) tenait sous la manche droite (le parapluie était fermé et il ne pleuvait pas). Puis, la femme étrangère avec le parapluie volé traversa la route à grande circulation en courant et escalada un grand talus de l'autre côté de la route puis disparut dans un quartier. Mon épouse resta debout un instant sans aucune réaction. Au moment où l'autre femme traversa la route, ma femme poursuivit son chemin sur le trottoir tout droit, s'éloigna, puis disparut. Un instant après cet incident, lorsque l'étrangère prit la fuite, j'ai réagi en me jetant à sa poursuite afin de la rattraper et récupérer le parapluie. J'ai traversé la route et escaladé le talus en courant. Le talus est abrupt (pente de 30° à 45°) d'une hauteur d'environ de dix mètres. Il n'est pas aménagé. C'est de la terre poussiéreuse et caillouteuse de couleur gris clair. Arrivé en haut, il y avait un terrain caillouteux plus ou moins plat et non aménagé aussi. Au fond du terrain, je ne voyais pas bien, comme s'il faisait sombre. De part et d'autre de ce terrain, sur le talus, au bord de la route, il y a des bâtiments ordonnés de couleur clair de cinq à six étages. Juste derrière, il y a des constructions (habitations et commerces) désordonnées, basses et mal faites. Elles ressemblaient à un bidonville. Plus on s'éloignait de la route et plus l'état des constructions se dégradait pour devenir un véritable bidonville. À une certaine distance de la route, une rue étroite goudronnée, un peu dégradée et praticable sépare les constructions mal faites du véritable bidonville. J'ai emprunté cette rue pour chercher la femme en fuite (elle est passée par cette rue qui est unique) mais, je ne l'ai pas rattrapée. Dans cette rue, à droite, il y avait un magasin ; j'y suis entré. Il est très petit (une superficie de douze à seize mètres carrés). Il est peint en blanc, un peu propre avec peu de marchandise. J'ai aperçu un genre de comptoir que je ne peux décrire. Il y avait aussi un réfrigérateur blanc et propre. On dirait un magasin de produits laitiers. Derrière le comptoir, une petite fenêtre qui donne sur un espace non aménagé (au même titre que le grand terrain déjà décrit). Le propriétaire est un homme brun de ma taille, un peu gros avec un ventre qui se distingue nettement. Je me souviens surtout de sa tenue. Il portait un ensemble de deux pièces d'une couleur gris foncé qui tire vers le violet ou le pourpre. Le tissu est léger, laissant apparaître le relief de son ventre. Le haut est du genre chemise/veste boutonnée (petits boutons noirs) et demi- manches. Le propriétaire était debout et occupe l'espace existant entre le comptoir et le réfrigérateur. Je lui ai posé la question suivante en arabe : “Avez-vous vu passer une femme portant un sachet et un parapluie noir ?” J'ai essayé de lui décrire la femme. Il ne m'a pas laissé terminer la description, il m'interrompe en m'expliquant que, vu les évènements que traverse le pays (l'insécurité), il n'a pas à m'informer sur quiconque. “De plus, m'a-t-il dit, comment peut-on trouver une personne en fuite dans ce grand bidonville ? c'est impossible !” J'étais très inquiet et perplexe : comment vais-je trouver cette femme ? Je me suis dit : il se peut qu'il l'ait vue et il ne veut pas me renseigner, car j'étais prêt à la poursuivre. Sa réponse m'a abattu. Je suis sorti du magasin toujours inquiet et perplexe. Puis, je me suis dit : cette femme habite certainement ces quartiers.
Elle doit travailler et chaque fin de journée, elle emprunte ce chemin (le grand talus) pour rentrer chez elle. Il suffit de la guetter de temps en temps entre 16h et 16h30 pour l'attraper. Cet horaire est celui de l'événement et du rêve.


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