Le secteur de la santé à Béjaïa doté de 10 générateurs de dialyse Le secteur de la santé à Béjaïa a été doté de 10 générateurs de dialyse. Pour cet investissement, les élus de l'APW de Béjaïa ont alloué une enveloppe de quelque 14 millions de dinars. Les appareils ont été repartis ensuite entre les hôpitaux Frantz Fanon de Béjaïa (06) et d'Akbou (04). Avec la réception de ces générateurs de dialyse, “c'est le développement du secteur de la santé qu'on assure et c'est les prestations de soins qui sont offertes aux citoyens, notamment les plus vulnérables d'entre eux”, a indiqué un communiqué de la wilaya.Toutefois, l'objectif du premier magistrat de la wilaya et des élus de l'APW consiste à réaliser à moyen terme une clinique publique du rein à Béjaïa. Tinhinan T. Modernisation de la RN43 à Melbou La livraison prévue en 2011 Le wali de Béjaïa, Ali Bedrici, accompagné du président de l'APW et des directeurs de wilaya, a inspecté le chantier de modernisation de la RN43 sur un tronçon de quelque 11,5 km. Sur le chantier, le responsable a présenté le projet pour lequel les délais ne subiront pas de changement. L'achèvement des travaux et la livraison totale du projet sont prévus pour la fin du mois de mai 2011. D'autant, a-t-on assuré, que les longueurs des tunnels ont été arrêtées définitivement. Cependant, quoique satisfait de l'avancement du projet, le wali n'a pas omis de rappeler au responsable de l'entreprise de favoriser dans ses recrutements la main- d'œuvre locale. Sans doute a-t-il été sensibilisé par cette question par le mouvement associatif, voire les élus locaux. Tinhinan T. Boufarik L'entreprise Jucob ferme ses portes La première entreprise nationale de fabrication des jus à base d'agrumes vient de baisser rideau après plus de cinq années en situation agonisante. Le SGP a décidé de fermer cette entreprise en libérant les 90 travailleurs, tout en leur proposant de s'inscrire à la caisse du chômage ou de présenter une demande à la retraite pour le personnel qui a atteint l'âge. Cette décision n'a pas été du goût des travailleurs qui estiment qu'ils étaient victimes d'une mauvaise gestion et qui ne méritent pas cette manière de mettre fin à leurs fonctions surtout sans aucune indemnisation. Pour certains travailleurs qui ont une expérience de plus de trente ans dans la même entreprise, toute une vie de labeur vient de partir en fumée, pour d'autres jeunes, qui commencent juste à se stabiliser dans leur vie professionnelle, retrouvent le gouffre du chômage. Un chômage qui risque de durer longtemps du fait que toutes les entreprises basées dans la ville de Boufarik et ses périphéries ont été dissoutes. Devant cet état de fait, certains travailleurs de la Jucob tentent de recourir à la justice pour pouvoir arracher les droits à une éventuelle indemnisation. K. FAWZI