Parution Attendu par ses lecteurs, le Petit café de mon père, de Kaddour M'Hamsadji, vient de sortir des presses de son éditeur habituel l'Office des publications universitaires (OPU) d'Alger-Ben-Aknoun. Ce livre est en vente exclusivement dans les librairies OPU d'Alger (place Audin et au 43, rue Didouche-Mourad), d'Oran (10, rue Patrice-Lumumba), de Constantine (rue du 19-Mai 1956) et dans les librairies OPU des chefs-lieux de wilaya. L'auteur témoigne de son enfance et de son adolescence par des récits au passé. C'est, semble-t-il, plus qu'une autobiographie. En effet, il propose des récits qui sont des souvenirs complètement ancrés dans le passé : famille, éducation, instruction, tradition, camaraderie, jeux dans le quartier, éveil à la poésie populaire, scoutisme, football, lectures diverses, relations avec les adultes, Seconde Guerre mondiale, éveil au nationalisme... Kaddour M'Hamsadji, ce “dernier survivant” de la génération des pionniers de la littérature algérienne pour l'indépendance, confie à ce sujet : “Quand un écrivain — et c'est mon cas — sent venir la solitude des dernières saisons d'existence, et à l'apogée de son expérience, il a toujours une moue d'impuissance, plus ou moins mêlée d'amertume, mais sans aucune pointe de regret. Il aurait suffi de laisser, quelque part sur du papier, une trace de plume qui dise de la façon la plus loyale l'acte entier d'une pensée sincère. Ceci est donc un acte d'amour, et j'y crois, car l'amour le plus grand est dans la grande solitude bénie de l'un des derniers printemps. De quoi voudrais-je parler ici ? Ma réponse évidente est dans cette interrogation : quel livre aurais-je écrit et qui ne fût pas une part de l'expérience de mon amour respectueux et filial envers mon pays ?” Concours de la meilleure poésie Dans le cadre de ses activités culturelle, l'établissement Arts et Culture de la wilaya d'Alger organise la neuvième édition du concours de la meilleure poésie, et ce du 20 janvier jusqu'au 20 mars 2011. Ce concours est ouvert à toutes les catégories et sur toutes les langues à usage en Algérie, à savoir l'arabe (classique et dialectal), l'amazigh et le français. Les participants doivent envoyer trois œuvres inédites, en cinq exemplaires chacune, accompagnées d'une fiche de renseignement. Les participants ayant déjà reçu un prix à ce concours n'ont pas le droit de prendre part à la présente édition. Les œuvres des candidats seront soumises à un jury composé d'hommes de lettres et de poètes. Trois grands prix pour chaque langue seront décernés. Un nouveau prix pour “Garagouz” Produit par Laïth Media, le court métrage Garagouz, d'Abdenour Zahzah, a obtenu le Grand prix international Regard sur le court au Saguenay International Short film festival (Canada). Suspension du cycle du cinéma japonais Suite au séisme du 11 mars 2011 et constatant l'importance occasionnée, le ministère des Affaires étrangères du Japon a pris la décision de s'abstenir des activités culturelles pour une certaine durée. De ce fait, l'ambassade du Japon en Algérie a le regret de suspendre le cycle du cinéma japonais en cours.