Le président de l'APW a passé en revue la situation socioéconomique de la wilaya et souligné les résultats enregistrés, tout en reconnaissant l'existence de certains problèmes qui se sont posés au moment de la mise en œuvre des actions programmées. L'examen du programme de développement alloué à la wilaya et l'évaluation de l'état d'exécution des délibérations et recommandations prises au cours des précédentes sessions ont été au centre des travaux de la première session ordinaire de l'APW qui s'est déroulée du 5 au 6 avril. Dans son allocution, le président de l'APW a passé en revue la situation socioéconomique de la wilaya et souligné les résultats enregistrés, tout en reconnaissant l'existence de certains problèmes qui se sont posés au moment de la mise en œuvre des actions programmées. Pour le même responsable, la conjugaison des efforts de tous a permis d'aplanir les problèmes et d'arriver à des résultats probants en matière de développement local, comme cela est confirmé à travers les différents indicateurs socioéconomiques. Les sorties organisées conjointement entre le pouvoir délibérant et le pouvoir exécutif ont été d'une grande importance pour mieux prendre connaissance de la réalité du terrain et de mieux mesurer le niveau du développement atteint par chaque commune et par chaque localité. Ce qui a conduit les organes locaux à axer leurs efforts sur, le secteur de l'agriculture par l'encouragement des opportunités d'investissement dans les activités de transformation des produits agricoles. Car c'est de la création d'unités agroalimentaires que dépendra aussi le développement de la région, dont les retombées positives sur l'emploi sont réelles. Le président de l'APW reconnaît que la pertinence des choix contenus dans le nouveau schéma d'aménagement du territoire est de nature à donner les ressorts d'un développement équilibré en direction de toutes les communes. Quant au chef de l'exécutif, le dossier relatif au développement, qui intervient dans un contexte particulier, nécessite une évaluation pointue de l'action de l'Etat à travers les programmes alloués. “Ce qui requiert aussi des efforts soutenus afin de prospecter toutes les possibilités qui permettent d'arriver à une plus grande optimisation des ressources”, dit-il. L'objectif procède de la volonté de mener les actions retenues dans la transparence, et d'impliquer la société civile à travers ses représentants et le mouvement associatif. Pour une plus grande équité dans la répartition des autorisations du programme, une application de critères a été faite afin de tenir compte de l'état de développement de chaque commune et de ses propres ressources. M. EL BEY