BLIDA : L'ANCIEN DSP À LA TÊTE DU CABINET DE LA WILAYA DE MOSTAGANEM Le poste de chef de cabinet de la wilaya de Mostaganem, occupé précédemment par M. Hadj-Kaddour, muté à Aïn Témouchent, vient d'être attribué à Mohamed-Lamine Houari, ancien DSP de Blida, installé dimanche dernier, suite à son détachement, il y a trois mois, du ministère de la Santé à celui de l'Intérieur et des Collectivités locales. Âgé de 50 ans, M. Houari, énarque et parfait bilingue, a occupé auparavant différents postes de responsabilité relevant de la Santé dont celui de directeur de l'hôpital de Médéa, directeur d'unité puis secrétaire général au CHU de Blida, DDS de Mostaganem et, enfin, DSP de Blida jusqu'à cette récente promotion où il rejoint à Mostaganem le cabinet de l'ancien wali de Blida, Hocine Ouadhah. Hadj Mohamed-Amine qui, par ailleurs, a été chargé de diverses missions et activités professionnelles (telles qu'encadreur à l'ENA et membre du jury, enseignant des P/APC…), s'est distingué dans la wilaya de Blida où, durant son exercice, la santé a connu une dynamique nouvelle, par sa compétence, son abnégation et ses qualités morales à travers la réalisation de nombreuses infrastructures dont il a eu à cœur leur réalisation mais encore l'équipement médical des établissements hospitaliers, le développement du parc auto, la réhabilitation de structures anciennes et la reconversion de petits centres de santé en polycliniques. Son cheval de bataille : rapprocher la santé publique des citoyens et promouvoir de nouvelles technologies en matière de santé publique. Fatiha Seman m'sila : UN ENFANT DE 12 ANS MEURT NOYE Le drame s'est produit hier, aux environs de 12h30, à la piscine semi-olympique du complexe sportif (OPOW) de M'sila, lors d'une sortie avec son équipe de cyclisme de la Protection civile. Une enquête a été ouverte pour déterminer s'il y a eu défaut de surveillance où s'il est mort à cause du choc reçu à la tête sur le bord de la piscine. “On ne sait pas ce qui s'est passé”, à l'OPOW de M'sila, c'est la consternation. Les maîtres-nageurs et l'ensemble du personnel de la piscine sont en état de choc. “Combien de temps l'enfant est-il resté sous l'eau ? Comment a-t-il pu échapper à la vigilance des surveillants ? s'interroge-t-on. On ne le sait pas. C'est la première fois qu'un tel drame se produit ici”. Une enquête a été confiée à la gendarmerie pour définir les causes du décès et déterminer s'il y a eu défaut de surveillance. Selon les premiers éléments, l'encadrement réglementaire était respecté. C'est la 2e noyade qu'enregistre la ville de M'sila dans un laps de temps ne dépassant pas les 24 heures. À rappeler que les éléments de la Protection civile ont repêché, dans la journée de vendredi dernier à 13h30, un enfant de 14 ans mort noyé dans une mare d'eau à proximité d'Ouled Bedira à la sortie nord de la ville. C. B.