spécialisées dans le vol de cheptel cinq personnes arrêtées pour faux et usage de faux à aflou Les agents de la Gendarmerie nationale d'Aflou, chef-lieu de daïra distant de120 km au nord de Laghouat, ont intercepté cinq personnes âgées entre 17 et 31 ans dont une mineure, accusées d'avoir subtilisé quelques 65 têtes de bétail à un éleveur âgé de 74 ans à la cité Al-Moustaqbal à Aflou. Sur la base des renseignements faisant état que les malfaiteurs se sont dirigés vers le mont appelé communément djebel al-gaâda, les gendarmes ont arrêté les voleurs et ont réussi à récupérer quelques têtes de cheptel. Par la même occasion, les éléments de la gendarmerie ont saisi sur les auteurs du forfait des chèques postaux volés, un poignard, une carte d'exemption du service national après extraction et le changement de la photo d'identité initiale. Les malfaiteurs ont été présentés devant le procureur de la République d'Aflou avant d'être jugés. Il faut signaler que ce phénomène de vol de cheptel a tendance à ce reproduire à l'échelle du territoire de la wilaya de Laghouat puisque des vols similaires ont été déjà signalés dans différends quartiers d'Aflou et les régions du sud de la wilaya. Arezki BOUHAMAM m'sila des citoyens réclament leurs fusils Réclamant la restitution de leurs fusils de chasse confisqués pour certains enre 1993 et 2004, plusieurs propriétaires des quatre coins de la wilaya n'ont cessé de frapper aux portes des autorités civiles et militaires de M'sila. Après avoir saisi par courrier les autorités dont le wali pour faire entendre leur voix, la dernière opération réussie par ces gens issus en majorité de communes rurales, est la collecte de plus de 474 signatures. “Nous voulons récupérer nos biens. On a remis aux autorités nos fusils docilement parce qu'il fallait le faire. Nous les réclamons depuis 2001 d'autant plus que la région a retrouvé une vie normale et les villageois ont pu regagner leurs douars”, nous déclarent-ils. “ Nous sommes des paysans et nous avons besoin de nos fusils. Nous avons le droit de récupérer nos armes et nous espérons seulement être entendus par les autorités. On abandonnera pas avant d'avoir gain de cause” ont-ils précisé. Et d'ajouter : “Nous voulons nos fusils, ou sinon, qu'on nous rembourse”, concluent-ils. C. B.