Ban Ki-moon est donc réélu pour un second mandat de cinq ans à la tête de l'ONU. Vote sans surprise, puisqu'il n'y avait aucun autre candidat. Et l'Assemblée générale de l'ONU s'est prononcée à main levée, comme dans les pays autoritaires et de dictatures. Un vote sans enthousiasme pour un secrétaire général qui souffre toujours d'un manque de charisme. La réélection du sud-coréen intervient alors que l'Organisation des Nations unies est au cœur d'une situation de crise en raison des évènements en Libye et en Syrie, et pas seulement là puisque le dossier palestinien est loin de se rouvrir.