HAMMAM BOU-HADJAR : Un gardien de parking de voitures retrouvé pendu La nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre dans la cité des Bains et ses environs. En effet, tôt le matin de ce mercredi, un jeune homme, répondant aux initiales de A.D.A., âgé de 43 ans et originaire d'Oran, a été retrouvé pendu à l'aide d'une corde dans un parking de voitures situé en plein centre-ville de Hammam-Bou-Hadjar (Aïn Témouchent) où il exerçait en qualité de gardien de nuit. Son corps a été transféré par les éléments de la Protection civile à la morgue de l'hôpital. La sûreté de daïra de Hammam Bou-Hadjar a ouvert une enquête pour déterminer les raisons et les circonstances exactes qui ont poussé la victime à commettre cet acte désespéré. Un autre suicide qui vient donc s'ajouter aux nombreux autres enregistrés dans la cité des Thermes depuis plusieurs années. M. LARADJ Tiaret : Arrestation d'un dealer notoire Les services de la police judiciaire relevant de la Sûreté de wilaya de Tiaret viennent de mettre le grappin sur un dealer notoire qui se trouvait en cavale et condamné par contumace à une peine de 15 ans de prison ferme pour commercialisation de drogue et falsification de documents officiels. Ce dernier, âgé de 46 ans et répondant aux initiales de A. A., sévissait dans la région de Mechra Sfa où il a été appréhendé en flagrant délit de commercialisation de kif traité et d'une autre drogue supposée être de la cocaïne, qui est actuellement soumise aux analyses d'un laboratoire spécialisé pour déterminer sa nature exacte. Au moment de son arrestation, le dealer se trouvait en compagnie d'un acolyte, A.R., âgé de 46 ans et originaire de Rahouia, à bord d'un véhicule de marque Mégane appartenant à ce dernier. Par ailleurs, le principal mis en cause a avoué aux policiers ses déplacements fréquents à Oujda d'où il s'approvisionnait. Néanmoins, plusieurs cartes d'identité falsifiées, qu'il utilisait pour se déplacer sous des noms d'emprunt, étaient en sa possession. Toutefois, les deux mis en cause sont actuellement sous mandat de dépôt en attendant leur comparution devant le tribunal. R. SALEM Stationnement à Mascara : Un vrai casse-tête En dépit du développement de son tissu urbain, la ville de Mascara est très appréhendée par les automobilistes, qu'ils soient visiteurs ou de passage dans la cité de l'Emir. En effet, les chauffeurs redoutent le manque des aires réservées au stationnement, notamment ceux à la recherche d'une place dans les rares parkings de la ville ou à proximité des lieux de leur destination, surtout à une heure avancée. Cette situation est devenue plus difficile quand les gérants des commerces du centre-ville utilisent des objets, tels que des cageots de limonade, des échelles ou des fûts, empêchant tout stationnement ou arrêt devant les devantures de leurs magasins. Ces mêmes procédés sont utilisés par les agents de sécurité exerçant au sein des administrations et les agences bancaires, des actes justifiés par la réservation de ces espaces aux véhicules appartenant aux institutions ou aux employés. Ces agissements irréfléchis sont ancrés dans les mœurs de la population locale. Quant aux conducteurs, ils interprètent différemment les plaques de signalisation routière. Dans cette optique, des aires de stationnement pourtant réglementées par l'implantation de plaques précisant qu'elles sont réservées aux véhicules d'une institution définie sont envahies par des tiers sans être inquiétés. L'absence de culture et la méconnaissance du code de la route de certains automobilistes les poussent à marquer un temps d'arrêt ou à stationner d'une manière anarchique, quitte à squatter les trottoirs et même les passages piétons. Ces encombrements provoqués par l'attitude inconvenante liée au manque de respect des usagers ont pour effet de pénaliser les piétons, qui se retrouvent otages de l'humeur des conducteurs. Les plus exposés aux risques pouvant découler de telles situations sont les enfants non accompagnés, mais également les personnes du troisième âge à la sensibilité fragile. A. B.