Le secrétaire général de l'Organisation nationale des enfants des moudjahidine qui a présidé, hier, à Oum El-Bouaghi, la conférence de wilaya de l'organisation a déclaré que la criminalisation de la colonisation et la restitution des archives de l'Algérie demeurent une constante revendication tout en s'interrogeant “pourquoi certains ont peur de cette criminalisation et de la restitution des archives ?” “Nous sommes, a-t-il ajouté, le prolongement naturel de l'ONM (Organisation nationale des moudjahidine”. Evoquant les réformes engagées par le président de la République, il dira que “le président a tenu sa promesse faite au peuple, mais les revendications des partis et des organisations ont été transférées à l'APN”. Khalfa M'barek qui se dit pour des listes ouvertes et contre les listes fermées, a rappelé qu'il ne faut pas qu'on fasse de l'Assemblée nationale un institut de formation ou un monopole pour 3 ou 4 mandats, poursuivant dans le même contexte, il relèvera ce qu'il qualifie de contradictions chez les juristes à propos de la révision de la Constitution avant ou après les réformes, dira-t-il, ou faire des réformes ensuite la révision, “nous voulons une constitution présidentielle et non une constitution parlementaire”. À propos des partis nouvellement agréés, Khalfa M'barek demande à ce que le cahier des charges soit respecté par tous et que “tout parti qui ne remporte pas 5% des voix doit disparaître de la scène politique”. B N