Parmi la liste des 40 joueurs présélectionnés par le coach national Vahid Halilhodzic, seuls les deux ex-internationaux espoirs défenseurs, Essaïd Belkalem et Farouk Chafaï ont été promus en équipe A, alors qu'on affirmait à l'époque que cette équipe, entraîné par Azeddine Aït Djoudi et qui avait pris part au tournoi qualificatif aux Jeux olympiques de Londres 2012 devait constituer l'avenir du foot ball algérien. Le premier réservoir de l'équipe nationale première ne constitue plus une référence et Halilhodzic a balayé tout le travail qui a été accompli. Les Benlamri, Bounedjah, Chalali, Ziti, Touahri, Boudebouda, Sayoud, Abaïd, Hamroune, Aouadj, Belaïli, Daoud pour ne citer que ceux-là, sont jetés aux oubliettes. Cela veut dire quoi au juste ? Eh bien, cela explique l'absence d'une politique claire au sein de la direction technique nationale et l'échec récemment des U17 en est la meilleure illustration. A I