(Magra) M'sila : Les habitants du quartier El-Meki demandent la délocalisation d'un poulailler Les riverains d'un poulailler exigent sa délocalisation hors du lotissement la cité El-Meki à Magra. Organisés en collectif de soutien, ils ont porté plainte contre le gérant du poulailler. Les riverains rappellent qu'"ils demandent le déplacement du poulailler et non sa fermeture. L'air est devenu très pollué. Le site est devenu invivable. Le hangar n'a pas de conduite pour les eaux usées. C'est un problème de santé publique." Le propriétaire du poulailler n'a pas souhaité s'exprimer sur le sujet. L'APC a confirmé que le propriétaire n'a pas l'autorisation d'exercer cette activité dans ce hangar. De son côté, la daïra devrait dépêcher une commission pour analyser la situation. Chabane BOUARISSA Bouira : Les prix flambent Malgré les assurances des différents ministres (commerce, agriculture...) sur la stabilité des prix des différents produits et leurs disponibilité, les prix, comme à l'accoutumée, ont flambé au premier jour de Ramadhan. La fièvre avait commencé à grimper dès le début de la semaine, pour atteindre un pic le 1er jour de Ramadhan. Un tour, hier matin au marché hebdomadaire des fruits et légumes au centre-ville du chef-lieu de wilaya, permet de mesurer la température des prix. Les produits les plus touchés sont les viandes rouges et blanches. Le poulet est à 350 DA/kg. Les petites bourses se sont rabattues sur le point de vente de l'Orac, où le prix du poulet congelé est fixé à 230 DA/kg. Le prix du veau est fixé à 900 DA/kg. Le mouton s'impose à 1300 DA/kg. Du côté des étals des légumes, les commerçants n'ont pas dérogé à la règle. Ils ne veulent pas que leur salade soit à la portée de tout le monde, en mettant haut la barre à 100 DA/kg. Les carottes, elles, s'imposent à 80 DA/kg. La courgette est cédée entre 80 et 100 DA/kg. Les haricots à 130 DA/kg. Même la tomate est entre 40 et 60 DA/kg. Du côté des fruits, seule la pastèque se maintient à 35 DA/kg. Les autres fruits connaissent une petite hausse mais pas aussi considérable que celle des légumes. Malgré la prolifération des marchés anarchiques à travers la ville et les routes nationales où est enregistrée l'abondance du produit, les prix ont augmenté. DEBBACHE Médéa : 580 bottes de paille et 20 ares de forêt partis en fumée La hausse des températures enregistrée au cours des dernières 48 heures a été à l'origine de deux départs de feu qui ont ravagé 580 bottes de paille et 20 ares de maquis et de broussaille dans les communes de Médéa et de Bouaichoune. Le premier incendie s'est déclaré dans un champ situé au lieudit Oued Zitoune, dans la périphérie de Médéa, où le feu a pu être maîtrisé grâce à l'intervention rapide des éléments de l'unité principale de la protection civile, qui ont éloigné le danger qui menaçait 4 habitations. En outre, les éléments de l'unité secondaire de la protection civile de Médéa sont parvenus à circonscrire le sinistre qui a réduit en fumée plus de 20 ares de maquis et de broussaille à Righa (commune de Bouaïchoune, 20 km à l'ouest du chef-lieu). M. EL BEY Nom Adresse email