L'USM Alger est aux yeux de tous l'un des clubs les plus structuré, le plus organisé depuis le passage au professionnalisme. Il paraît que c'est aussi le club le plus riche sur le plan financier, sauf que vis-à-vis des impôts et des cotisations sociales, la direction d'Ali Haddad, l'actionnaire majoritaire de la SSPA/USMA, ne semble pas aussi "nantie". On croit savoir que la SSPA/USMA est à l'image de plusieurs autres clubs professionnels algériens, l'USMA ne paye pas ses impôts et ses cotisations à la sécurité sociale et ce, depuis la création de la SSPA/USMA en 2010. La direction de l'USMA à d'ailleurs reçu il y a environs 15 jours de cela une correspondance de la direction des impôts pour non seulement régler ses obligations fiscales, mais aussi une pénalité de retards de payement d'impôts et de cotisations, qui atteint selon une source proche l'ordre de 25% du taux global, un taux équivalent à plusieurs milliards de centimes, suite à plusieurs années de non paiement. Les dirigeants de l'USMA sont d'ailleurs en discussion avec les autorités concernées pour trouver une solution. Par négligence ou un déficit budgétaire? La question reste posée concernant l'USM Alger d'Ali Haddad qui détient la majorité des actions en 70 milliards de centimes au début de la création de la société où les salaires du personnel se taillent la part du lion dans la mesure où ils représentent plus de 50% des dépenses. Le groupe Haddad a mis le paquet pour permettre à la SSPA de fonctionner convenablement, mais ce n'est pas vraiment le cas puisque le club n'affichent pas autant de bénéfices par rapport a son lourd investissement. A. I Nom Adresse email