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Gabegie
Khaled R
Publié dans
Liberté
le 07 - 03 - 2004
La catastrophe de Keddara montre qu’il ne suffit pas de réaliser de grands ouvrages hydrauliques. Préserver la ressource de la pollution et de l’envasement, assurer une distribution régulière de l’eau, sont aussi, sinon plus importants.
La grave pollution du barrage de Keddara est révélatrice de la manière dont se gèrent les affaires de l’État. Les performances s’évaluent pour nos gouvernants en nombre de barrages réalisés au cours du mandat de Bouteflika et non en termes de progrès en matière d’accès de la population aux réseaux d’eau potable et d’assainissement. Qu’on se le dise : le rationnement, un sport national, quarante ans après l’indépendance, est déjà une tache noire dans les bilans des dirigeants qui se sont succédé à la tête de l’État. La catastrophe de Keddara montre qu’il ne suffit pas de réaliser de grands ouvrages hydrauliques. Préserver la ressource de la pollution et de l’envasement, assurer une distribution régulière de l’eau, sont aussi, sinon plus importants. Le comble dans cette catastrophe écologique, c’est que, au moment où la population de la capitale s’attendait à une amélioration nette de son approvisionnement en eau potable, on lui offre un cocktail à l’odeur de pétrole. Ce fait sans précédent traduit à quel point on ne tire pas les leçons du passé. Bab El-Oued, Boumerdès,
Skikda
et de nouveau
Alger
indiquent qu’à la source de tous ces malheurs, il y a absence de prévention.
On dit que gérer c’est prévoir. Une telle règle est constamment bafouée en Algérie. La liste des victimes s’allongent. La qualité de vie en prend un sérieux coup. Mais nombre de responsables inamovibles ne cessent de répéter les mêmes erreurs. Dans un système qui s’abstient de sanctionner les négligences, la gabegie, et dont la finalité première est la démentielle auto-reproduction et non l’amélioration des conditions de vie des Algériens. Jusqu'à quand ?
La grève des boulangers, elle, prévue pour trois jours, risque de priver de pain l’ensemble du pays. Là , également, aucune réponse des officiels n’est venue régler le conflit. J’allais dire que nos dirigeants ne mangent pas de pain. Mais pourquoi alors tant de retenue lorsqu’il s’agit de protéger les intérêts des consommateurs et de permettre à la corporation de mettre la baguette à la disposition de la ménagère. S’il faut jouer à fond la logique de la subvention, c'est-à -dire empêcher l’augmentation du prix du pain actuellement pour des raisons électoralistes, que l’État baisse les prix des intrants. Puisqu’on n’est plus dans les règles du marché.
Faut-il que le consommateur soit toujours le dindon de la farce de tous ces calculs politiciens et de toute cette gestion qui ne répond qu’à l’urgence, qu’à la grève et qu’à l’émeute ?
K. R.
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