Pas moins de sept joueurs de l'an dernier, à savoir Derrag, Bahloul, Ziad, Sebah, Gaouaoui Houri et Henaïni ont esté le CSC au niveau du tribunal arbitral du sport pour réclamer leurs arrièrés. Ainsi, après Derrag qui a eu gain de cause auprès du TAS et qui devrait empocher la coquette somme de 1 milliard 200 millions de centimes, à savoir deux ans de contrat, c'était au tour de Sebah et Ziad qui vont, de leur côté, bénéficier de leurs parts respectivement de 600 de 400 millions de centimes, soit 5 mois de salaires en retard en sus leur lettre de libération. Le verdict pourrait être également le même concernant les autres joueurs cités. Cependant, la direction de Bentoubal ne l'entend pas de cette oreille, et "jure" que ces derniers n'auront aucun centime de ce qu'ils réclament, comme nous le confie le président des Sanafirs : "Je le dis haut et fort, ces joueurs ne toucheront aucun sous car ils ne le méritent pas. Le TAS a pris, certes, sa décision, mais sans nous consulter. De notre côté on ne va pas se taire ; on a constitué un lourd dossier contre eux et, croyez-moi, on va tout faire pour rétablir le club dans ses droits, et ce sera les joueurs en definitif qui vont nous rendre de l'argent." Ainsi et à ce propos, le club s'est opposé à la qualification de Sebah à l'ASMO ainsi que celle de Henaïni qui a signé en France avec le club de Colmar. Affaire à suivre A. Redha Nom Adresse email