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Concorde, élections et société
Mustapha Hammouche
Publié dans
Liberté
le 14 - 04 - 2004
Il était rapporté que, lors du dernier meeting du président-candidat, Ã
Alger
, des parents de victimes du terrorisme présents dans la salle ont fait part de leur irritation de voir des terroristes repentis assister au rassemblement.
L’indignation a été sans conséquence puisque ni les terroristes ni les victimes n’ont eu à quitter la salle Harcha. Bouteflika n’a pas eu à choisir son camp.
L’histoire récente est parlante : dans notre pays, le risque vient du seul fait de prendre position. Le FLN a trouvé, tout au long des trente premières années, suffisamment de monde pour imposer un article 120 qui impose l’adhésion au parti unique pour les centaines de milliers de petits, moyens et hauts responsables, tous secteurs confondus ; il a trouvé suffisamment de compères pour pouvoir réprimer, arrêter, torturer et, parfois, assassiner, les contestataires. Peu de gens ont bronché.
La révolte des cadets d’octobre 1988 a permis à quelques adultes de pouvoir enfin s’exprimer à visage découvert, sans supprimer la frayeur qui paralysait notre société. Le FIS a obtenu de nous, par l’intimidation plus que par la conversion, les concessions les plus invraisemblables, comme celles de cesser de fumer et de lire les journaux ou de fuir devant le rapt de sa propre sœur. Sitôt affaibli par la lutte antiterroriste et la résistance citoyenne marginale, l’islamisme fut peu à peu fui. Il y a eu bien plus d’éléments de réseaux de soutien que dans les groupes d’autodéfense. Sans la lutte antiterroriste institutionnelle, épaulée par des hommes ayant choisi de se défendre et par quelques républicains de conviction, bien des Algériens en seraient encore à marchander leur vie plutôt qu’à la défendre.
Même l’honneur, si chatouilleux quand il s’agit de pétitionner contre un projet de débit de boisson, n’a pas suffi à préserver des milliers de jeunes épouses et filles du viol collectif.
Les parents de victimes qui ont discrètement pesté contre la présence d’auditeurs repentis, ont très probablement vociféré pour la forme, puisque, apparemment, ils ne se sont pas posés la question de savoir comment ils en sont arrivés à partager la même tribune avec les assassins de leurs proches. La concorde civile n’est rien d’autre que cela : la gravité du crime terroriste, crime “contre le genre humain�, est minimisée jusqu’à ce qu’il soit réduit au statut de simple malentendu. La concorde civile c’est le déni du statut de victime, d’un côté, et le rachat du crime, de l’autre.
Après tout, la trahison des morts par les rescapés a déjà marqué nos après-guerres passés. On ne peut pas approuver la concorde civile et contester ses résultats qui sont aussi ses objectifs. La concorde civile correspondait à un besoin social. Et Bouteflika n’avait pas tort de ne pas choisir entre la victime et le bourreau : les deux lui ont donné raison.
À 85%, il fallait que tout ce beau monde soit représenté dans son électorat.
À voir la représentativité disparate et universelle de ses soutiens notoires, il faut bien convenir qu’en plus d’autres motivations pas toujours avouables, Bouteflika présentait l’avantage de sa proposition : ne pas choisir. Et de ne pas se battre.
Le renoncement contre la paix.
M. H.
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