Des ralentisseurs de trop De dangereux ralentisseurs, non conformes aux normes, ont été placés près de la plage Aïn-Achir, plus précisément au niveau de l'intersection du vivier et du cap de garde, ainsi que du centre familial de repos pour les cadres de la Sûreté nationale. Pourtant, ce ne sont pas les barrages, aussi bien de la police que des éléments de la Gendarmerie nationale, qui manquent dans les parages, surtout depuis l'inauguration, la saison écoulée, du centre de repos de la Sûreté. De nuit, ces ralentisseurs, qui étaient autrefois le lieu de prédilection des agressions de touristes obligés de ralentir, deviennent très dangereux, surtout que l'éclairage public à cet endroit fait défaut. Transport largement assuré Le transport des estivants a été renforcé, cet été, dans les communes de Annaba. Ainsi, plusieurs bus, qui assuraient autrefois d'autres liaisons, ont été mobilisés dans le cadre du Plan bleu pour assurer le transports à partir de plusieurs points du centre-ville vers les différentes plages. Cette saison, le transport par bus est largement assuré dans le deux sens, dès 6 heures jusqu'aux environs de 21 heures, a-t-on constaté. Sécurité renforcée sur le littoral Contrairement à l'été dernier, où de nombreux estivants se sont plaints de l'absence de sécurité, notamment du côté du cap de garde, cette saison, le problème semble résolu. Ainsi, en matière de sécurité et de quiétude des estivants, plusieurs barrages des services de sécurité sont à pied d'œuvre dans le cadre du plan Delphine, chapeauté par la Gendarmerie nationale. En effet, de la région de Vivier, située sur la pointe nord de la baie annabie, à 12 km de la ville, en passant par Belvédère, Toch, le Caroubier, Rizi-Amor, jusqu'à l'entrée de la plage Saint-Cloud, les services de sécurité veillent scrupuleusement au grain, à la grande satisfaction des estivants. D'ailleurs, aucune agression n'a été signalée depuis l'ouverture de la saison estivale, le 6 juin dernier. Pour leur part, les éléments de la Protection civile et les gardes-côtes algériens ont lancé des opérations de lutte contre les propriétaires d'embarcations, de petits métiers et autres engins maritimes, présentant un danger réel pour les estivants. B. Badis