Devant une assistance très nombreuse au stade de Hamlaoui, les Constantinois avaient à cœur de confirmer les derniers bons résultats enregistrés et ainsi continuer sur leur bonne lancée face à une bonne équipe du MOB. En première période, les actions les plus franches sont à mettre à l'actif des locaux. À la 10' Voavy déclenche une bonne accélération sur le flanc gauche, le Malgache arrive à centrer et trouve la tête de Boulemdaïs, cependant, le gardien béjaoui s'interpose et écarte le danger. À la 24', le CSC obtient un coup franc à 30 mètres des buts de Rahmani, Chorfa se charge de le tirer mais le gardien dévie la balle en corner. Les Sanafir ne cessent de presser l'adversaire mais toutes leurs tentatives sont avortées par la défense du MOB. Les Béjaouis ne réagissent qu'à la 37' lorsque Mekaoui commet une faute sur Yaya, ce dernier exécute le coup franc mais le portier Cédric est sur la trajectoire. Juste après la reprise de la seconde période, le CSC obtient un penalty suite à une faute de main commise par Aguid, dans la surface de réparation. Bezzaz se charge de l'exécuter et trompe d'un joli contre-pied le gardien mobiste (47'). À la 53', les visiteurs réagissent sur une tête croisée de Hamzaoui suite à un centre d'Athmani, le ballon frôle le montant droit du gardien constantinois. À la 83', Hamzaoui a failli profiter d'un moment d'inattention de l'arrière-garde du CSC, mais rate complètement sa frappe face aux bois. Le danger persiste jusqu'aux ultimes minutes de la rencontre mais le score en restera là. Une victoire importante qui permet aux Sanafir de respirer et sortir la tête de l'eau. Simondi présent à Constantine L'ex-entraîneur du CSC et actuel entraîneur adjoint de l'USMA, Bernard Simondi, était présent au stade, à l'occasion, pour superviser son prochain adversaire et n'a pas manqué de féliciter ses anciens poulains, du côté des vestiaires. Des supporters du MOB empêchés de suivre la rencontre Une vingtaine de supporters du MOB ont été empêchés de suivre la rencontre et priés de quitter le stade sous l'influence du public constantinois qui ne voulait pas qu'ils assistent à la rencontre. Cela, en représailles du match aller où les supporters du CSC ont été obligés, également, de quitter le stade de l'Unité maghrébine. Adlene R.