La problématique de désignation des arbitres pour les rencontres de Ligue 1 alimente la polémique, notamment après le scandale de l'arbitre M. Bachir qui a validé un but en flagrante position de hors-jeu en faveur de la JSS contre la JSK. La direction kabyle avait dénoncé jeudi déjà, soit 48 heures avant la rencontre, à travers la presse, la désignation de cet arbitre pour cette rencontre, rendant le président de la CFA, Hamoum, responsable des conséquences qui découleront de cette désignation. Etant donné que la CFA a pris la décision de ne pas publier les désignations des arbitres sur le site internet de la LFP et de la FAF, en préférant miser sur la "confidentialité", il est utile donc de s'interroger sur la personne (ou les personnes) qui ont informé la JSK de la désignation de l'arbitre M. Bachir trois jours avant le match ? Pis encore, selon nos sources, des présidents de clubs ont révoqué des arbitres trois jours avant les rencontres, en appelant directement le président de la CFA l'intimant à changer tel ou tel arbitre. Un site internet publie mercredi soir sur facebook la désignation des Ligues 1 et 2. D'où viennent toutes ces fuites du moment que la CFA a décidé de saisir directement les arbitres sur leur courrier électronique personnel les informant de leur désignation ? Qui fait fuiter les désignations ? La CFA est-elle en mesure de déclencher une enquête pour déterminer les responsables ? Ce sont en fait trois personnes à "concocter" la désignation des Ligues 1 et 2 (Hamoum, Kerbadj et Zekrini). En tous cas, le président de la JSK, a lancé un véritable pavé dans la mare en déclarant que la désignation de l'arbitre Bassiri , qui selon lui a saboté son équipe contre le CAB, pour la rencontre DRBT-CRB, remportée à la surprise générale par les Belouizdadis, soulève des interrogations. Une flèche directe lancée contre Kerbadj, ancien du président du CRB.... À ce titre , la direction du CAB a demandé à la LFP d'ouvrir une enquête au sujet des accusations de Hannachi au moment où la ligue se limite à des mises en garde insignifiantes ! Rachid Abbad