Les bénéficiaires des logements AADL au niveau du site Bab-Ezzouar II sont contraints de broyer du noir dans… le noir depuis une année. En effet, leur cité est dépourvue d'éclairage public plongeant ainsi les lieux dans les ténèbres avec tous les risques de vols et d'agressions. Le comble est que tout est fin prêt (l'installation, les pylônes... etc.) et il ne manque que l'engagement de l'APC à assurer le paiement d'un branchement comme cela s'est fait dans toutes les autres cités. Sauf que l'édile local s'entête à refuser de s'acquitter de cette redevance selon les responsables de l'AADL au “mépris de la réglementation”. Bien évidemment, les locataires sont les seuls dindons de la farce, se trouvant ballottés entre l'APC et l'AADL dans une fuite de responsabilité sidérante pendant qu'ils payent rubis sur l'ongle les factures d'électricité chaque mois avec, bien sûr la quote-part de… l'APC. Curieux !