"Suite à l'article publié en date du 24 juillet 2005 en page 9 sous le titre “Circoncision des enfants nécessiteux à Rahouia. L'opération ratée et la Touiza gâchée”, une mise au point nous paraît nécessaire pour rétablir les faits dans leur réalité. En effet, le mercredi 20 juillet 2005 vers 11 heures, M. Salem, auteur de l'article et correspondant du quotidien “LIBERTE” nous a contactés par téléphone pour nous informer que des enfants n'ont pas été reçus au niveau de l'hôpital de Rahouia pour circoncision. Nous lui avons précisé que la circoncision relève d'un acte médicochirurgical devant s'effectuer par un chirurgien et non par des paramédicaux, dans un milieu aseptique (bloc opératoire) et qu'une telle opération (campagne de circoncision) nécessite une programmation préalable. Concernant les références des correspondances citées dans l'article, la direction de la santé n'en a jamais été destinataire. Lors de l'entretien téléphonique avec le correspondant, aucune réunion n'a été proposée. Nous nous sommes limités à demander la liste des enfants démunis pour faire prendre en charge leur circoncision. Nous sommes surpris par les informations et jugements non fondés contenus dans l'article publié, notamment le conflit qui aurait opposé le P/APC de Rahouia au directeur de la santé. L'hôpital de Rahouia a démarré en janvier 2004 et l'activité opératoire est assurée deux fois par semaine par un chirurgien privé dans le cadre d'une convention écrite établie par le secteur sanitaire de Tiaret, conformément à la réglementation en vigueur et qu'à aucun moment, nous n'avons été destinataires d'une requête mettant en cause ce chirurgien ou d'autres chirurgiens depuis notre installation à la wilaya de Tiaret en 2001.”