Suite à l'article paru dans votre quotidien du 24 juillet 2005, page Zoom sur la capitale, intitulé “Ses voies d'aération obstruées, I'hôtel Safir sur une poudrière”, l'ancien directeur de l'hôtel Safir a indiqué que, s'agissant des aménagements et renouvellements techniques des sous-sols où se trouveraient les chaudières, je tiens à vous informer que cette opération a été initiée et prise en charge par la direction générale (EGT Centre), il y a quelques années, en matière d'achat, aménagement, pause et suivi, prérogatives relevant toujours de la direction générale et jamais de l'unité hôtel Safir, (sans commentaires). Quant à l'aménagement du local servant de siège à l'Association nationale des amis Safir, cette initiative a reçu l'aval de l'administration, seule habilité à le faire. Ce local avait fait l'objet d'un contrat de 99 ans, en bonne et due forme, avec cette remarque que c'est grâce à cette association que l'hôtel Safir n'a pas été bradé à l'époque, puisque son premier but était de le sauvegarder en le classant comme patrimoine historique et son affectation à l'APN, sans oublier que le collectif s'est constitué en groupe de preneur SPA avec un capital de 1 million de DA statutairement et conformément à la réglementation en vigueur avec son conseil d'administration et son commissaire aux comptes. Et que c'est grâce à cette association aussi qu'il demeure encore l'outil de travail du collectif des travailleurs, dont la majeure partie y sont membres. Il est opportun de rappeler à nos chers lecteurs, dans ce même contexte, que le bureau de l'association a été renouvelé au cours du trimestre précédent, avec pour président M. Banallègue Abdelkader (député) et pour président d'honneur M. Hadj Moussa Akhamokh (Aménolokal et Sénateur). S'agissant des contrats de location des locaux faisant face au boulevard (cybercafé, agence de voyages, etc.), ils ont été dûment passés sous forme d'actes notariés, depuis déjà plus de 10 ans. Quant à I'acte de gérance libre du Zerieb Club, il a été conclu avec I'accord préalable du 1er responsable du secteur du tourisme et ce, pour une durée de 24 mois ferme, non renouvelable, prenant fin en juin 2003. La réponse aux questions de savoir comment et pourquoi ce contrat a été reconduit ? à quel prix ? sous quelle forme ? et qui est le bénéficiaire ?, revient plutôt à l'actuelle direction de l'hôtel. Au sujet du logement de fonction que j'occupe depuis plus de 20 ans en qualité de directeur de cet établissement, litige soumis d'ailleurs à l'initiative du directeur actuel à la justice qui s'est prononcée par ordonnances définitives du tribunal statuant en référé, confirmées par la cour en appel le 7 juillet 2004, corroborant ainsi mon maintien dans le logement en question avec rétablissement de l'électricité, du gaz et de l'eau, ceci en vertu de mon détachement à l'APN comme député conformément à l'article 105 de la Constitution et à l'article 2, alinéa 3 du statut de député.