Les éléments de la Protection civile relevant de l'unité de Bouzedjar et de l'unité principale d'Aïn Témouchent, en collaboration avec les gardes-côtes du port de Bouzedjar, ont repêché, dans l'après-midi du mardi 18 mai, le cadavre d'un harrag qui flottait au large, tout près des îles Habibas dans les eaux territoriales de Bouzedjar dans la daïra d'El-Amria (AïnTémouchent). Selon la Protection civile, le corps de la victime de sexe masculin, âgé de 30 ans environ et non identifié bien qu'il ne soit pas dans un état de décomposition, portait un jean, un tricot et un gilet de sauvetage et était en possession d'un téléphone portable avec une carte SIM marocaine. Ce qui laisse supposer que le harrag est d'origine marocaine. La dépouille a été transférée vers les UMC d'El-Amria avant d'être déposée à la morgue de l'hôpital Ahmed-Medeghri d'Aïn Témouchent. Par ailleurs, le corps d'un enfant noyé dans une fosse anarchique d'une profondeur et d'une largeur de 7 mètres a été découvert, toujours mardi 18 mai, à la cité Goumid-Bouazza, près de Haï Ezzitoun d'Aïn Témouchent. La victime de sexe masculin, âgée de 12 ans, est originaire du quartier de Sidi Ali Cherif au chef-lieu de wilaya. Repêché par les éléments de l'unité principale de la Protection civile, son corps a été déposé à la morgue de l'hôpital Ahmed-Medeghri d'Aïn Témouchent. Une enquête a été ouverte par les services de sécurité sur les circonstances de cette mort tragique qui a jeté un grand émoi au sein de la population témouchentoise.