Le nouveau ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a pris hier ses nouvelles fonctions en remplacement d'Ammar Belhimer, à la suite du remaniement ministériel partiel opéré jeudi par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune. À cette occasion, M. Bouslimani a adressé ses remerciements au président de la République pour la confiance placée en sa personne, exprimant sa joie de retrouver le secteur de la communication auquel il appartient. La responsabilité de diriger ce secteur "sensible" est très lourde, a-t-il ajouté, affirmant qu'après les efforts consentis auparavant en tant que cadre dans le secteur, il redoublera d'efforts pour s'acquitter de cette tâche "importante" et relever "les défis majeurs". Dans ce sillage, M. Bouslimani a appelé à "la fédération des efforts de tout un chacun en vue de poursuivre sur le chemin de ses prédécesseurs" au niveau d'un secteur "en voie d'édification", et ce, "pour se mettre au diapason des développements des technologies de l'information et de la communication (TIC)". "La presse reste le miroir de chaque Etat. Et tout un chacun est appelé à contribuer au développement de ce secteur, et partant, à l'édification de l'Algérie nouvelle", a soutenu le nouveau ministre. Appelant les médias publics et privés à contribuer à la relance du secteur, M. Bouslimani a souligné qu'"un grand travail nous attend". Concernant les élections locales du 27 novembre en cours, le ministre a souligné que les médias "jouent un rôle crucial" dans la réussite de cette importante échéance électorale.