DEUX MORTS DANS UN ACCIDENT DE LA ROUTE Deux personnes ont trouvé la mort dans un accident de la route, survenu mercredi dernier sur l'axe routier Sidi Bel-Abbès-Oran et précisément au lieu dit le Rocher, situé à la sortie nord du chef-lieu de wilaya. Selon notre source, le drame s'agissait d'un télescopage entre deux véhicules légers, un taxi et une Renault Clio. Les corps des victimes ont été évacués vers la morgue du CHU de Sidi Bel-Abbès et une enquête a été ouverte par les services de la Gendarmerie nationale pour déterminer les causes et les circonstances exactes de cet accident. SEPT KILOS DE KIF SAISIS Agissant sur information, les éléments de la police judiciaire de Sidi Bel-abbès ont saisi, mercredi dernier, quelque 7,370 kg de kif dans un domicile situé au quartier ex- Faubourg-Perrin, apprend-on auprès de la Sûreté de wilaya. Aucune personne n'a été arrêtée lors de cette prise, et l'enquête est en cours pour épingler le propriétaire de la marchandise prohibée. UN POLICIER RIPOU ECROUE Selon la cellule de communication de la Sûreté de wilaya, un inspecteur de police, en permanence au niveau de la sûreté urbaine du quartier CPR, qui, suite à un différend entre deux citoyens, qui se sont présentés au niveau du commissariat pour déposer plainte, aurait demandé à l'un d'eux de lui acheter des boissons spiritueuses et ce, afin de l'aider contre le deuxième plaignant. Refusant l'offre du policier, le citoyen se dirige vers la Sûreté de wilaya pour le dénoncer. Ainsi, une souricière a été tendue et le policier a été pris en flagrant délit de réception de la boisson demandée. Présenté devant la justice, le mis en cause a été placé sous mandat de dépôt. DEUX PHARMACIENS PLACES SOUS MANDAT DE DEPÔT Lors d'une patrouille de routine menée au niveau de l'avenue lieutenant-Khelladi de Sidi Bel-Abbès, les éléments de la police judiciaire ont appréhendé deux jeunes en possession de 74 comprimés de psychotropes du nom pharmaceutique Lysanxia. Interrogés, les deux mis en cause avouent avoir acheté les hallucinogènes auprès de deux pharmacies du centre-ville. Convoqués à leur tour, une vendeuse de pharmacie a reconnu avoir vendu au deux mis en cause une boite de 40 comprimés. Par contre, le deuxième propriétaire de pharmacie a nié l'accusation des deux acheteurs. Présentés avant-hier devant la justice, les quatre mis en cause ont été écroués. A. B.