Une citoyenne résidant à Kouba, retraitée de la santé publique, dépose un dossier à la mairie pour l'obtention d'un logement social. Après les enquêtes d'usage, diligentées par les services de la mairie de Kouba, son dossier est accepté, elle obtient donc une décision d'attribution de logement. Entre-temps, la postulante décède. Logiquement, le logement doit revenir à sa fille, unique héritière. C'est en tout cas le point de vue des responsables de l'APC de Kouba, qui ont reçu cette héritière. Cette dernière à sa grande surprise, en se rendant à l'OPGI d'Hussein-Dey, pour retirer les clés de l'appartement, se voit signifier, après moults tergiversations, qu'elle n'avait pas droit à la succession, donc pas de logement. Pour cette héritière, qui n'arrive pas à contenir sa déception et sa colère, il y a bien eu magouille sur ce logement qui a dû être promis ou même affecté à une tierce personne. Moyennant quoi ?