RELIZANE : Vol dans des établissementz scolaires Les auteurs présumés arrêtés Suite à deux plaintes déposées par les responsables d'établissements scolaires ayant fait l'objet de vols, en l'occurrence les lycées Adda-Benaouda et Belaadem-Bessafi, les éléments de la police judiciaire ont pu arrêter le groupe de malfaiteurs. En effet, le lycée Adda-Benaouda a fait l'objet d'un vol durant la nuit du 23 au 24 avril dernier. Une plainte a été déposée par le directeur de l'établissement. Le lycée Belaadem-Bessafi a été lui aussi le théâtre d'un vol dans la nuit du 3 au 4 mai. En multipliant leurs investigations, les éléments de la police judiciaire ont arrêté trois éléments du groupe en plein centre-ville en possession de quelques objets volés. Les premiers éléments d'enquête ont permis l'identification de trois autres membres du groupe. En effet, après avoir perquisitionné à son domicile, les éléments de la police judiciaire ont récupéré le reste des objets volés, dont un micro computer, un scanner, une imprimante et un poste radio, et arrêté les deux autres acolytes, en l'occurrence R. D., 26 ans, et C. H. Dj, 38 ans. Présentés au parquet, les quatre membres du groupe ont été placés sous mandat de dépôt et deux autres ont été laissés en liberté provisoire. N. AYMEN Arrestation d'un dealer et saisie de psychotropes Les éléments de la police judiciaire de Relizane viennent d'arrêter à la gare routière de Relizane le nommé Z. H., 35 ans, originaire de Boumerdès en possession de 15 comprimés psychotropes. Ce dernier, qui s'apprêtait à prendre le bus à destination de Chlef, a fait l'objet d'une fouille par les éléments de la police judiciaire ce qui a permis de découvrir la “marchandise” dont il était en possession. Après enquête, l'interpellé a été présenté au parquet qui l'a placé sous mandat de dépôt. N. A. HYDROCANAL DE OUED FODDA (CHLEF) Grève générale des travailleurs depuis mardi Les 320 travailleurs de l'entreprise Hydrocanal de Oued Fodda, dans la wilaya de Chlef, observent, depuis mardi, une grève générale illimitée. Ils revendiquent la libération de leur directeur qui vient d'être incarcéré pour avoir refusé d'octroyer une parcelle de 2 100 m2 de son établissement au profit des autorités locales et ce, afin d'y réaliser un centre de formation. Selon des témoignages recueillis auprès de certains grévistes, le mouvement engagé ne prendra fin qu'après satisfaction de leur revendication. A. CHENAOUI