Centres d'hémodialyse à Sidi Aïch et de rééducation à Ilmathen Le matériel nécessaire pour la mise en place d'un centre d'hémodialyse commence à être acheminé vers Sidi Aïch, et une délégation s'est déplacée pour voir les modalité de lancement de ce centre. Le choix de l'endroit reste pour l'instant à faire et les responsables de ce secteur sont à la recherche, dit-on, d'une infrastructure adéquate, même si dans le milieu hospitalier de cette ville, on parle de sa probable implantation dans la localité de Tinebdar. Dans la commune d'El Kseur, à Ilmathen, l'ouverture du centre de rééducation fonctionnelle est sur la bonne voie. Là encore, le matériel nécessaire aurait été déjà envoyé. Ces deux centres seront, dit-on, fonctionnels avant la fin de l'année. Par ailleurs, après le remplacement du directeur de l'hôpital de Béjaïa par celui d'Amizour, il est attendu un vaste mouvement qui touchera plusieurs autres responsables. A. HAMMOUCHE Blida Une enveloppe de 1 354 millions de DA pour le cadre urbain Ces opérations qui portent sur l'amélioration de l'environnement bâti par la rénovation et la réfection des voies d'accès aux cités ainsi que par la création d'espaces verts et d'aires de jeux et de détente ont ciblé plus d'une vingtaine de cités et de sites, a précisé la même source. La réhabilitation des voiries, de l'éclairage public ainsi que le ravalement et le traitement des façades sont également prévus dans le cadre de ces opérations dont l'objectif est de mettre fin à la prolifération de “cités-dortoirs”, a-t-on estimé à la Direction de l'urbanisme (DU). En effet, l'ampleur prise par ce phénomène, notamment au chef-lieu de wilaya, a profondément bouleversé le paysage urbain et dégradé le cadre de vie de la “ville des Roses”. Incontestablement, la ville de Blida a connu au cours de ces dix dernières années une profonde mutation urbaine qui a pris des proportions alarmantes sur le plan de la sauvegarde des espaces verts, de l'environnement et de la santé publique, ont estimé des urbanistes. Conçus pour répondre exclusivement à des impératifs socioéconomiques urgents, ces ensembles urbains “ont été réalisés selon des instruments d'urbanisme qui n'accordent que peu d'intérêt aux aspects autant esthétiques qu'écologiques”, a-t-on souligné à la DU. APS Le directeur général de l'AADL nous écrit “Suite à la publication par votre quotidien d'un article intitulé : “Logements AADL : 400 bénéficiaires exclus”, la direction générale de l'AADL tient à nuancer cette affirmation et à corriger le chiffre annoncé. Il est connu de tous que l'opération ayant trait au filtrage des demandes est une opération continue et actualisée en fonctions des nouvelles donnes. Cela veut dire que même après occupation du logement si un souscripteur est révélé par le filtrage comme ayant bénéficié de l'aide de l'Etat, pour l'acquisition, l'achat ou la rénovation de son logement, ceci implique directement son retrait du programme location-vente. Pour le programme de Boumerdès et suite à l'opération de vérification des filtrages effectuée entre l'agence AADL de Boumerdès et l'agence CNL de Boumerdès, concernant les aides de l'Etat contractées auprès de cette dernière lors du séisme, il ressort les informations suivantes : Personnes classées zone rouge : 41 Personnes classées zone orange : 51 Personnes classées zone V2 : 118 Ce qui fait un total de 210 et non 400 comme publié par votre journal. Cette mesure prise par l'AADL découle de l'application des dispositions réglementaires et notamment celles liées au décret 01/105 portant conditions et modalités d'acquisition d'un logement dans le cadre de la locationvente”.