AEP à Souk Ahras Dégradation du réseau À Souk Ahras, il n'y a toujours pas d'amélioration notable dans la gestion des réseaux d'adduction d'eau potable, qu'il s'agisse de leur entretien ou de leur renouvellement. Indéniablement, on ne finira jamais d'en parler. C'est un véritable casse-tête, aussi bien pour les habitants de certains quartiers de Souk Ahras que pour l'entreprise gestionnaire, l'ADE. Les habitants des 64-Logements, à l'entrée de la cité Draïa, en savent quelque chose, eux qui avaient été, il n'y a pas si longtemps, privés d'eau pendant une semaine. Nous avons tenté, sans résultat, pendant quatre jours, de prendre contact avec le responsable local de L'ADE pour en savoir plus sur les éventuelles solutions envisagées pour réduire le nombre impressionnant de fuites d'eau. Certaines fuites persistent et s'éternisent. Même les remises en état ou les réparations hâtives et mal conçues restent inefficaces, ce qui augmente immanquablement le nombre de requêtes et, de ce fait, le nombre d'habitants mécontents. Le récent renouvellement de la conduite d'eau principale de la rue Didouche-Mourad a, quant à lui, créé plus de problèmes qu'il n'en a résolus, parce que réalisé sans études précises et préalablement établies. C'est ainsi que des conduites secondaires d'alimentation ont été fortuitement réalisées, faisant craindre ainsi d'imprévisibles dysfonctionnements. M. C. M. Etat civil de Jijel Des erreurs de transcription signalées Le service de l'état civil de la mairie de Jijel est celui qui draine le plus de monde sans désemplir en toute saison. Il est paradoxalement celui que les contribuables aimeraient éviter autant que possible. Et pour cause, les files d'attente au niveau des guichets se forment dès l'ouverture de la mairie. Elles s'allongent au fil des heures, elles s'étirent, s'enchevêtrent jusqu'à former une foule compacte où il n'est guère facile de trouver une place. La demande est tellement forte qu'il n'est pas rare que des erreurs de transcription soient signalées par des usagers en colère car obligés de revenir. Le service a atteint un degré de saturation tel qu'il faudrait envisager, au plus tôt, des solutions radicales. Les citoyens se demandent pourquoi on n'a toujours pas informatisé ce service. Mourad Bouchama