jijel rush des touristes sur les grottes merveilleuses de ziama mansouriah Les Grottes merveilleuses, situées à 6 kilomètres à l'est de la commune de Ziama Mansouriah, wilaya de Jijel, ne cesse d'attirer l'intérêt de milliers de touristes, notamment en cette saison estivale. Si certains estivants préfèrent se rendre à la plage, d'autres se rabattent sur des sites plus paisibles, à l'image des Grottes merveilleuses réputées pour leur aspect naturel enchanteur avec ses stalagmites et stalactites. À proximité des Grottes merveilleuses, des enfants proposent toutes sortes de vêtements d'été et des objets artisanaux. “J'exerce ce métier à l'approche de chaque été, tout en travaillant et en passant à la fois les vacances dans une ambiance agréable”, nous a avoué Ahmed, un jeune collégien, vendeur à ses heures perdues. Les visiteurs y trouvent un endroit de détente enchanteur, pendant que les enfants n'hésitent pas à se baigner dans l'eau limpide de l'oued Dar El Oued, juste en bas des grottes. M. BOUCHAMA Constantine BIENTÔT LE GAZ NATUREL À BENCHERGUI Pas moins de 2 800 foyers à la cité Benchergui dans la wilaya de Constantine vont bénéficier, d'ici quelques jours, d'un important projet qui concerne l'installation du gaz naturel, selon la direction de l'énergie et des mines de la wilaya. Rappelons que dans le cadre du programme de soutien à la croissance économique 2005-2009, 34 000 foyers ont bénéficié du gaz naturel, soit un taux de couverture de 74% pour l'ensemble des communes de la wilaya. Un taux qui doit atteindre les 95% d'ici 2009, selon les responsables de cette direction. SOUHEILA B. EL OUED Des centaines de palmiers ont soif Des centaines de palmiers relevant de l'exploitation agricole Beldjani-Slimane souffrent du manque d'eau et risquent de dépérir. Selon les agriculteurs, cette exploitation, fondée en 1984, en collaboration avec l'Organisation internationale de l'agriculture (FAO) dispose de plus de 10 200 palmiers et 800 arbres fruitiers divers. Faute d'eau d'irrigation que les autorités refusent toujours de satisfaire en réalisation des forages, 300 palmiers ont déjà dépéri et 700 arbres fruitiers ont connu le même sort. Les agriculteurs ont précisé que la FAO a réalisé, en 1984, un forage hertzien, dans le cadre de la promotion de la richesse phonécicole. Au fil du temps, le débit s'est affaibli et le forage n'arrive plus à couvrir les 90 ha de l'exploitation. Aussi, les propriétaires ont recouru aux autorités locales, notamment les services de l'hydraulique, pour leur octroyer un permis de construire d'un forage. Seulement, ces derniers se sont heurtés à un niet catégorique, sous prétexte que toute réalisation de forage est strictement interdite, sur décision du wali et ce, pour sauvegarder la région de Oued Righ, souffrant, elle aussi, d'un excédant d'eaux d'irrigation. Cependant, la décision d'interdire toute construction d'un forage, confirmée par le P/APC de Merara, a eu des répercussions négatives sur plusieurs exploitations agricoles, principale source de vie pour des dizaines de familles. Khaldi B.