Draâ el mizan deux auteurs d'un crime mis sous mandat de dépôt Deux jeunes répondant aux initiales A. M., 30 ans, et G. H., 23 ans, ont été présentés avant-hier devant le juge d'instruction près le tribunal de Draâ El Mizan, à 50 km au sud de la ville de Tizi Ouzou. Au terme de leur audition, ils ont été placés sous mandat de dépôt pour crime. L'affaire remonte au 2 juillet dernier quand un citoyen a découvert le cadavre de son frère à Aït Hidjia dans la commune d'Assi Youcef relevant de la daïra de Boghni dans une maison qu'il gardait. La victime a été assassinée par balle. Après des recherches, la gendarmerie de Mechtras a arrêté les deux auteurs présumés du meurtre. F. I. GHARDAIA UN JEUNE CARBONISE PAR UNE DECHARGE ELECTRIQUE C'est dans le quartier populeux de Baba Saad que le drame est survenu, à la stupéfaction des résidants face à l'horrible décès d'un jeune de 28 ans. Employé par un sous-traitant privé de la Sonelgaz, dont le marché consiste à procéder aux coupures d'électricité aux consommateurs n'ayant pas réglé leurs factures dans les délais, le jeune homme a tenté de couper directement le courant en sectionnant un câble électrique à partir d'un pylône. Apparemment mal protégé et non doté d'appareillage approprié, il reçut une fulgurante décharge dès qu'il touchât le câble. Mais le plus affreux, selon certains témoins oculaires, c'est que le malheureux est resté agrippé au câble un long moment, pendant que son corps se consumait jusqu'à sa quasi-carbonisation. Dégagé par la Protection civile, le corps a été déposé à la morgue de l'hôpital de Ghardaïa. Une enquête est ouverte pour déterminer les causes et les circonstances exactes de cet épouvantable accident. L. KACHEMAD HASSI R'MEL DECOUVERTE MACABRE À LA STATION DE POMPAGE N°4 DE SONATRACH Le cadavre, en état de décomposition avancé, d'un travailleur de Sonatrach répondant aux initiales A. M., âgé d'une cinquantaine d'années, originaire de Relizane, a été découvert, vendredi passé, dans sa chambre sise à la base de vie, distante d'environ 130 km au sud du chef-lieu de la wilaya de Laghouat. Suite à l'odeur pestilentielle et insupportable qui se dégageait de la chambre de la victime, ses collègues, habitant la même base de vie, ont alerté la Protection civile et la Gendarmerie nationale. Les services compétents de la wilaya ont procédé aux premières constatations, puis acheminé la victime vers l'hôpital Ahmida-Ben-Adjila de Laghouat pour autopsie. Les services de la Sûreté de Laghouat ont ouvert une enquête pour élucider les causes et les circonstances exactes de ce décès qui a plongé l'ensemble des travailleurs de SP4 dans le deuil. BOUHAMAM AREZKI