SOUS LE HAUT PATRONAGE DU MINISTRE DU COMMERCE Le Salon de la publicité sur les lieux de vente en septembre “Longtemps considérée comme la dernière roue du carrosse, la PLV est aujourd'hui un média à part entière, et bon marché, au regard de son efficacité. Elle accompagne et renforce l'efficacité des plans de communication de l'enseigne”, la publicité sur le lieu de vente (PLV) ou encore la communication sur le lieu de vente (CLV) s'offre donc, dès septembre à Tizi Ouzou, un espace professionnel de communication. Le salon qui se tiendra sous le haut patronage du ministère du Commerce va donner la parole à ceux qui activent dans le cadre de la promotion et du développement de la marque. La société RH.International Communication qui a mûri cette initiative va donner la parole à des experts invités pour la circonstance. En premier les cadres du ministère du Commerce qui développeront plusieurs thèmes ayant trait à la concurrence et à la protection des marques. Elles va permettre à la chaîne de communication de gagner sur le terrain pour séduire le consommateur. Pour le directeur général de RH.International Communication la PLV est un média à part entière, elle recouvre toutes les manifestations publicitaires d'une marque en magasin : affiches, présentoirs, affiches géantes, pancartes. Le principal objectif de cette manifestation se résume à réunir les professionnels de la COM, donc du marketing lesquels auront à étaler au grand jour leur richesse du savoir-faire et affronter la concurrence qui est comme tout le monde le sait féroce parce que la communicatoin, devait-il ajouter, n'est pas un outil magique mais un outil qui peut être manié que par des professionnels qui ont “une parfaite connaissance des comportements d'achats propres aux différents annonceurs. Par conséquent, les talents d'un architecte ou d'un designer sont, certes, indispensables mais insuffisants, s'ils ne viennent pas s'ajouter à une bonne connaissance et une maîtrise suffisante des techniques de réalisation et une parfaite maîtrise des comportements du consommateur dans le point de vente”. Ce sera un grand débat sur la publicité que propose RH aux professionnels de ce secteur, reste aux consommateurs, aux annonceurs, aux professionnels de négocier l'avenir de la marque et surtout de séduire un peu plus. Ls outils seront-ils présents au Salon de la PLV ? La question est déjà sur le podium. R. N. TIARET Saisie de 3 000 cartouches de cigarettes Legend En faction sur la RN40, les éléments de la brigade mobile relevant des Douanes nationales, ont mis la main, à la mi-journée de ce lundi, sur une importante quantité de 3000 cartouches de cigarettes de marque américaine Legend, a-t-on appris de sources concordantes. Cette marchandise, estimée à près de 200 millions de centimes, ajoute notre source, se trouvait à bord d'un camion de marque Saviem immatriculé à Djelfa, abandonné par son conducteur, au niveau de l'axe menant de Mahdia à Bouchekif, qui avait pris le soin de monter à bord d'un véhicule de marque Renault Mégane, servant sans nul doute d'éclaireur, avant de s'éclipser dans la nature. Par ailleurs, une alerte a été aussitôt donnée concernant le véhicule et le fugitif en question. R. SALEM RENCONTRE DES PSYCHOLOGUES À CONSTANTINE La prise en charge du malade en débat “La prise en charge du malade par l'équipe médicale” tel a été le thème de la rencontre organisée, hier, au CHU Ibn Badis de Constantine, à l'initiative de l'Association des psychologues de la wilaya de Constantine. Dans son intervention, le président de l'association a mis en exergue l'existence réelle du problème de prise en charge du malade. “Si le malade est correctement pris en charge et convenablement accueilli, le taux de guérison peut, aisément, atteindre les 80%. Le taux d'échec peut s'élever aussi à 80%, si le malade ressent une hostilité de la part de son médecin traitant ou de son infirmier”, a indiqué le conférencier. En effet, l'ensemble des participants à ce regroupement s'est mis d'accord sur l'urgence de mettre en place des mesures adéquates pour régler ce problème. Il est, donc, plus que nécessaire de sensibiliser le malade et lui prouver que les soins prodigués dans l'établissement où il est hospitalisé sont valables. “Le médecin doit déployer des efforts pour avoir la coopération du patient”, a souligné le conférencier. Un résultat qui ne peut être palpable qu'avec le dialogue et une écoute constante du malade sans aucune condition. Il s'agit en fait d'un comportement thérapeutique positif qui a déjà fait ses preuves et donné des résultats convaincants. MADANI R. BECHAR La canicule et la routine À Béchar, la routine et l'ennui persistent par l'absence d'activités culturelles et sportives. En effet, aucun programme spécial n'a été élaboré par les services concernés pour sortir cette ville du Sud de sa léthargie habituelle pendant cette saison des grandes chaleurs. Les enfants qui ne trouvent aucune activité sportive ou récréative pour combler leur temps libre s'engouffrent en masse dans la morosité. Ici, les cafés ne désemplissent guère jusqu'à des heures très avancées de la nuit. Les femmes au foyer n'osent plus montrer le bout du nez et même pour les inévitables achats de produits domestiques à cause de la canicule qui sévit pendant ce trimestre. Cette situation a poussé la majorité des habitants de la capitale de la Saoura à se déplacer vers les wilayas du Nord pour profiter de la mer et pour acheter des vêtements à leurs enfants en prévision de la prochaine rentrée scolaire. Il y a même ceux qui ont acheté des maisons ou des studios au bord de la mer à des prix peu abordables pour pouvoir fuir la chaleur et le désert culturel qui sont devenus deux facteurs caractérisants cette région du sud du pays. Devant ce constat amer, les citoyens attendent avec impatience qu'on leur propose de quoi meubler leurs loisirs. RACHID B. Manque de carburant à El Oued Les stations- services menacent Les stations-services privées ont menacé, hier, d'entrer dans une grève illimitée en signe de protestation contre l'entreprise Naftal d'El Oued, qui refuse de les approvisionner en quantités suffisantes d'hydrocarbures. Les propriétaires des stations ont, en effet, rendu public un communiqué dans lequel ils ont exposé le problème lié au manque de carburant, notamment, le mazout et l'essence super. Les signataires du communiqué ont signalé que ces deux produits sont parfois absents des stations durant 20 jours sans que l'entreprise Naftal n'intervienne. Selon les déclarations de certains propriétaires de stations, le problème est dû au dépôt du réservoir de Naftal dont la capacité est limitée. Les protestataires ont donné aux responsables de Naftal et aux autorités concernées une échéance d'une semaine avant de mettre à exécution leur menace de grève. KHALDI B. JIJEL 120 stagiaires en vacances à l'INFSP Ils sont 120 stagiaires africains à avoir bénéficié d'un séjour au niveau de l'Institut national spécialisé de la formation professionnelle Chabouni-Idriss au chef-lieu de la commune de Jijel. Les stagiaires originaires de 14 pays africains ont ainsi entamé un circuit à travers la côte jijelienne et celle de Béjaïa, dans le cadre de voyages organisés. Les organisateurs de ce périple touristique, qui, rappelons-le, s'étalera jusqu'à la fin du mois en cours, ont concordé un programme riche, agrémenté de soirées musicales au niveau du camp où les stagiaires séjournent. B. BOUCHAMA GRAREM-GOUGA (MILA) Démolition de locaux commerciaux Les services du contrôle technique de Mila, en coordination avec la Direction de l'habitat et de l'urbanisme, ont décidé, tout récemment, la démolition d'une vingtaine de locaux commerciaux édifiés à Draâ Babouche, à l'ouest de la commune de Grarem-Gouga. Les locaux en question accordés à la municipalité dans le cadre du programme présidentiel ont été rasés, a-t-on précisé, pour non-conformité du béton utilisé aux normes internationales. En effet, selon les services du CTC, les analyses de laboratoire effectuées sur le béton sont négatives d'où la décision de démolition.Il faut souligner que cette opération qui est toujours en cours va occasionner des pertes de près de 500 millions de centimes au promoteur du projet, une entreprise privée en l'occurrence. Pour leur part, les services du CTC de Mila assurent que cette mesure vise à préserver, d'une part, la qualité des structures réalisées et barrer la route aux faussaires et autres pseudo-entrepreneurs, d'autre part. K. BOUABDELLAH