Les chauffeurs de taxi de la wilaya d'Alger ont demandé, hier, l'annulation totale de leurs dettes accumulées de 1993 à 2003 en raison du non-paiement des impôts. Dans une conférence de presse en marge de l'assemblée générale des chauffeurs de taxi de la wilaya d'Alger, le président de la commission nationale des chauffeurs de taxi, M. Hocine Aït Brahem, a souligné que ces dettes sont estimées à des “chiffres faramineux dont ils sont incapables de les payer”. “Nous épuiserons toutes les voies légales avant de recourir à la grève en cas de non-aboutissement”, a indiqué M. Aït Brahem, avant d'ajouter que “fin septembre a été fixée comme date butoir pour le début de la grève”. APS