KHEMIS EL-KHECHNA Coupures fréquentes d'électricité Les habitants de Khemis El Khechna, à l'est de Boumerdès, sont confrontés à de nombreux problèmes dans leur vécu quotidien. En effet, si ce n'est pas une coupure d'eau qui tarde à être réparée, c'est une coupure de courant électrique qui surgit en pleine nuit et même dans la journée. À Khemis El Khechna, il n'y a pas un sans coupure de courant et cette situation, devenue fréquente, a provoqué dans la population un désarroi total. Si il y a coupures d'électricité cela veut dire que tout s'arrête dans la ville, les ordinateurs de la poste, les appareils électriques et électroménagers, les machines industrielles, et bien d'autres, mais ce qui n'est pas normal c'est le téléphone, notamment le portable, dont le réseau est coupé également. Selon les dire des citoyens, ce sont les abonnés des opérateurs téléphoniques qui sont à chaque fois coupés du monde dès qu'il n'y a pas d'électricité dans la ville. Beaucoup d'abonnés nous ont fait part des désagréments qu'ils rencontrent chaque jour. “Le réseau part avec l'électricité, à plusieurs reprises la communication est interrompue avec la coupure d'électricité. Ce n'est pas normal, l'opérateur doit intervenir et mettre fin à ce problème qui surgit chaque jour car notre ville est connue pour les coupures répétés du courant”, nous ont déclarés les citoyens. Nacer Zerrouki préemploi à blida Les diplômés se bousculent au portillon Avec une autorisation de création de 800 postes, la direction de l'emploi de la wilaya de Blida a enregistré depuis l'ouverture des inscriptions plus de 7 000 demandes. Ce nombre a tendance à se doubler si l'on prend en compte le nombre de diplômés qui se bousculent chaque jour devant les bureaux d'inscription. En termes d'offre, des responsables de la direction de l'emploi avouent que les diplômés en spécialités sciences commerciales, finances, marketing ou chimie industrielle ont une plus grande chance de décrocher un contrat, même dans des établissements privés, alors que les diplômés de la filière sciences humaines trouvent souvent des difficultés à accéder à un emploi. Les responsables indiquent aussi que la majorité des postes du préemploi requiert des diplômes scientifiques. La wilaya de Blida, vu ses capacités industrielles et son rôle en tant que pôle universitaire, a besoin d'un programme plus attractif pour pouvoir prendre en charge toute cette matière grise. K. Fawzi