Après la signature de la convention entre le groupe émirati Emaar et le ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, il ne restait que la conclusion de la convention devant permettre à cet investisseur du Golfe de lancer ses grands chantiers et de concrétiser ses objectifs en Algérie. À ce jour, rien ne laisse transparaître une accélération de ce processus, alors que la venue du président du conseil d'administration d'Emaar était annoncée, il y a quelque temps, à Alger. Du coup, d'aucuns s'interrogent sur le cours des évènements et les raisons de ce retard qu'accusent les deux parties.