Chlef Le recensement des locataires de logements en préfabriqué tire à sa fin L'opération de recensement des locataires des logements en préfabriqué de la wilaya de Chlef tire à sa fin. 6 100 locataires sur les 6 300 existants ont été répertoriés, a indiqué le président de la commission chargée du dossier des logements en préfabriqué et également président de l'APW, M. Moumena Mohamed. Cette opération pour laquelle des équipes chargées du recensement des occupants de ces logements ont été mobilisées localement après l'annonce en juin dernier des mesures prises par le gouvernement au profit des locataires, a permis, selon le même responsable, de recenser plus 99% des familles occupants ces logements en location. S'inscrivant dans le cadre de la prise en charge par l'Etat des préoccupations des citoyens de la région, cette opération, a expliqué le même responsable, a été précédée par l'examen des différents aspects techniques du dossier des logements en préfabriqué. Sur un autre chapitre, le président de ladite commission fera état à ce titre d'une décision du gouvernement permettant aux locataires occupants ces logements depuis 1980 d'accéder à la propriété de ces chalets aux mêmes conditions que ceux ayant déjà acquis ces chalets au titre de la législation antérieure. Cette opération, qui sera menée à titre de régularisation, a d'autre part indiqué le président de cette commission, sera engagée dans les plus brefs délais et sera achevée avant la fin de l'année en cours. APS maghnia Les étals envahissent l'espace public La majorité des commerçants ne se gênent nullement pour utiliser malheureusement la voie réservée les piétons pour étaler leurs marchandises. Le citoyen qui est ainsi contraint emprunter la chaussée n'arrive toujours pas à comprendre la passivité des autorités locales. Les trottoirs sont envahis par les marchandises, au point où des commerçants louent des locaux minuscules juste pour stocker la marchandise mais utilise l'espace public pour vendre leurs produits. Le gardiennage incommode les automobilistes Le gardiennage de véhicules prend des proportions alarmantes au centre-ville où des énergumènes se font passer pour des préposés de la commune pour contraindre les automobilistes à s'acquitter de 20 DA pour le stationnement de leur véhicule. La grogne des automobilistes est compréhensible devant un tel comportement qui est pour le moins agressif. Aucune note officielle n'a été portée à la connaissance de celui-ci auquel un bon lui est délivré en bonne et due forme et lequel se dit en droit d'être informé et de savoir à quel dessein est utilisé l'argent soutiré ainsi semi-officiellement. AMMAMI Mohammed