La nouvelle du décès de celui qui fut l'ailier de charme du MC Saïda de la 6e décennie et détenteur de la Coupe d'Algérie de 1965, a fait le tour de la ville comme une traînée de poudre, tant feu Kabaïli jouissait d'une estime à la mesure de sa modestie et sa gentillesse. La nouvelle du décès de celui qui fut l'ailier de charme du MC Saïda de la 6e décennie et détenteur de la Coupe d'Algérie de 1965, a fait le tour de la ville comme une traînée de poudre, tant feu Kabaïli jouissait d'une estime à la mesure de sa modestie et sa gentillesse. Si Ahmed pour le commun des Saïdéens, est décédé en France où les soins qui lui ont été prodigués n'ont pas eu raison de sa maladie. Connu de tous, le défunt faisait la joie de milliers de fans saïdéens, «pour son ombrelle avec le ballon», où «le pont sup» ayant fait des ravages dans les défenses adverses. Le n°7 de la bande à Amara, le précurseur de la notoriété du Mouloudia d'après l'Indépendance, a quitté ce monde sans dire adieu à ses co-équipiers d'alors les Amara, Belkacem Bénalioua, Bouziane, Kadda Fezza, Kerroum Benabdellah, Ahmed Mokri, Abdelkrim Moulay, Kerroum Bouboule, Sahraoui et Boufeldja pour rejoindre l'ailier gauche Tlemçani et son frère Brahim retraité de la police. Aussitôt la nouvelle ébruitée que le bouche à oreille a fait le reste, et c'est le tout Saïda qui a rappliqué en sa demeure compatir avec sa famille et ses proches et notamment son frère Bouazza. La Nouvelle République se joint à tous pour présenter, à la famille Kebaïli et alliés, les proches et amis à la famille sportive touchée par la disparition d'une référence, ses sincères condoléances. Khali Ali