L'ANPDSF (Association nationale pour la promotion et développement du sport féminin) en collaboration avec le ministère de la Jeunesse et des Sports, ont organisé le 28 janvier dernier à l'hôtel Sofitel une journée d'étude sous la thématique «situation et mode de gestion des APDSP». Une rencontre à laquelle a pris part le DJS de Béjaïa, M. Benhathmane, représentant le wali, la sous-directrice au MJS. 25 wilayas représentant plus de 70 associations étaient également présentes à ce rendez-vous. Si l'objectif des organisateurs est de regrouper toutes ces associations à l'effet de les orienter sur la gestion des associations, l'autre but non moins important consistait à les exhorter à multiplier le nombre de licenciés dans la pratique sportive et la définition d'une stratégie commune. Pour la représentante de l'association qui a déjà tenu une première réunion du genre à Béjaïa en 2000, cette seconde est une réussite autant que le festival de Djelfa et le salon tenu au Sud qui visent en premier ressort le développement certain du sport féminin. Toute la lumière sur la gestion des associations, leur constitution, champs d'intervention, mode d'organisation, leur utilité et leurs rapports avec les associations étrangères. Un délai de deux années est donné aux associations pour se conformer. L'autre intervenant Djender, inspecteur à la DJS-Alger reviendra aussi et longuement sur les statuts du CSA et s'appuiera, quant à lui, sur le décret interministériel du 6/7/1996 qui reste d'actualité. Une autre réunion sera programmée, dira la représentante du MJS et traitera particulièrement sur la spécificité des APDSF qui diffère de la gestion des CSA du point de vue mission et résultat.