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Sarkoko en sursis
Publié dans La Nouvelle République le 26 - 01 - 2013

Au vu des investissements qataris en France et du rôle de Sarkozy, qui faisait à chaque fois les yeux doux aux gros lards du Golfe, le commun des mortels se serait interrogé sur cette mollesse d'un président au jeu diabolique.
Nicolas Sarkozy, impliqué dans divers scandales financiers, n'avait, au cours de son investiture, rien fait pour l'intérêt de la France. Bien au contraire, il s'est comporté comme un voyou capable d'assassiner un témoin gênant, qu'il avait pourtant reçu à l'Elysée. Kadhafi, sans doute victime de sa niaiserie vis-à-vis des Occidentaux, ne s'était jamais douté que la tape dans le dos qu'il avait reçu de la part de Sarkozy était le signe de sa condamnation à mort mafiosique. Il n'avait jamais douté que cela allait lui coûter une mort sous couvert d'une résolution onusienne violée par un adepte du sionisme qui ne figure sur aucun registre des mairies françaises. Voilà, maintenant, le grand brigand qui, après avoir cassé la tirelire libyenne, compte s'installer à Londres pour investir à hauteur d'un milliard d'euros. Accusé par Mediapart de préparer secrètement son coup fourré, l'ex-locataire de l'Elysée a bien évidemment nié toute envie d'expatriation. Certaines sources l'accusent d'avoir pillé les fonds libyens dont personnes ne sait où ils ont disparu. Cela dit, le site d'information Mediapart s'étonne que personne ne se pose la question de la disparition des avoirs libyens. Son ex-collabo dans la guerre libyenne, le Qatar, serait prêt à l'aider, en sus de ses conférences à dormir debout, mais cela ne suffirait pas à rassembler 1 milliard d'euros. Alors ? «Réunir cet argent serait bien la preuve que des banquiers et lui, selon de nombreuses rumeurs, ont bel et bien placé les fonds libyens quelque part. Surtout, dans des paradis fiscaux car la façon inexpliquée avec laquelle les fonds libyens ont disparu dans les banques françaises étonne et détonne», pense l'analyste Allain Jules. Dans cette rapine, il faudrait également s'interroger sur son implication dans les ventes d'armes frauduleuses au Pakistan. On avance également, que le dernier scandale politique du plan de Sarkozy de Nagy-Bocsa est «d'esquiver le nouveau taux de 75 % de l'impôt français». Son rêve donc, en compagnie de son top modèle Carla Bruni-Sarkozy, serait de s'installer dans un quartier riche comme South Kensington. Cela dit, il est actuellement mis en examen pour corruption en France, alors il n'a pas intérêt à fuir comme un repris de justice. D'ailleurs, son projet de déménagement (d'«évasion», en novlangue) a été découvert lors d'un raid de la police sur la fraude Sarkozy de Nagy-Bocsa à Paris. Outre cela, il faudrait rappeler l'utilisation de l'argent des contribuables pour payer ses amis et pour produire des sondages d'opinion pendant qu'il était au pouvoir. Trop de charges pour pouvoir échapper à la «guillotine», pardon, à l'incarcération.

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