Adepte du «qui tue qui» dans les années 1990, le Franco-Germanique anti-algérien Cohn-Bendit a encore une fois ouvert son «bec» pour critiquer l'Algérie. Selon ce député européen, l'Algérie exerce «le double jeu» avec les groupes islamistes armés. Avant qu'il ne reçoive la réponse des Algériens, Cohn-Bendit s'est fait très petit devant les autres députés européens et ce, après avoir été remis à sa place par le président français. Dans son discours, François Hollande a tiré à boulets rouges sur le député des Verts et sur ceux qui, aveuglés par la haine, osent apporter des critiques contre l'Algérie. Dans l'enceinte de Parlement européen et devant les députés et des milliers de téléspectateurs, François Hollande a déclaré : «J'ai entendu tout à l'heure évoquer l'Algérie. Je veux ici dire combien l'Algérie a souffert pendant des années et des années du terrorisme, et que s'il y a un pays qui ici est la victime de la barbarie c'est bien l'Algérie», a ajouté le président français. Dans son discours, François Hollande a évoqué l'attentat d'In-Amenas, indiquant le rôle joué par les forces de sécurité algériennes qui ont réussi à libérer les otages. «Je n'ai pas discuté de ce qui a été fait par les Algériens, sur leur territoire, pour éradiquer les terroristes qui retenaient en otages 600 personnes !» a-t-il ajouté. «Nous aurons besoin de l'Algérie dans cette région du monde pour lutter contre le terrorisme, pour favoriser une politique de développement, pour le dialogue politique y compris avec les Touareg.» Mis à part ce que rapportent les médias, que saviez vous du terrorisme islamiste, M. Cohn-Bendit ? A la place des Algériens, n'importe quelle nation au monde, et vous en premier, aurait brandi le drapeau blanc devant ces hordes sauvages. Ce n'est pas le cas pour l'Algérie qui n'a pas abdiqué devant ces sanguinaires et a réussi à maintenir debout la République. Grâce à son peuple et ses forces de sécurité, l'Algérie est restée debout au moment où M. Cohn-Bendit et ses acolytes l'ont donné pour morte. M. Cohn-Bendit et ses amis doivent également savoir que ce n'est pas l'Algérie qui a donné l'hospitalité à des milliers de criminels qui ont fui l'Algérie, l'Afghanistan et autres pays. L'Algérie n'a pas financé les organisations terroristes, elle n'a payé de rançon et n'a entamé aucun dialogue avec les sanguinaires. Le seul principe des Algériens est celui de combattre le terrorisme, elle l'a fait sans l'aide de personne et continue aujourd'hui de le faire. Cohn-Bendit aurait certainement oublié que le terrorisme aveugle que lui même et certains de ses amis ont soutenu par le «qui tue qui» a fait plus de 200 000 morts. Il faut être vraiment aveugle et sourd à la fois pour ne pas voir que l'Algérie n'a jamais cédé au terrorisme. Depuis les années 1990, l'Algérie a combattu seule ces groupes armés, financés et aidés par ceux qui rêvent de voir l'Algérie devenant un Afghanistan bis. Il est plus que sûr que M. Cohn-Bendit et ceux qui partagent ses idées ont du mal à digérer que le terrorisme a été vaincu en Algérie. Ces mêmes personnes auraient certainement fait leur «deuil» lorsqu'elles ont su que l'Algérie a été le seul pays de la région à faire exception au «printemps arabe». Sachez, M. Cohn-Bendit, que les Algériens sont prêts à donner dix fois plus pour éradiquer le terrorisme et pour que l'emblème national flotte à jamais dans les cimes. M. Cohn-Bendit, vous devrez tout d'abord vous «purifier» à chaque fois où vous devez évoquer l'Algérie. La caravane passe...