L'état de santé du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, «évolue bien» et n'a subi «aucune lésion irréversible», a affirmé hier le Pr Rachid Bougherbal. Le président de la République «n'a pas subi de séquelles irréversibles», a précisé le professeur Bougherbal, expliquant qu'aucune fonction motrice ou sensorielle n'a été altérée». L'accident ischémique transitoire (AIT) «n'a pas duré longtemps» et l'affection est «réversible» et «régresse» sans laisser de «lésions séquellaires», a-t-il assuré. Le chef de l'Etat doit «compléter» son bilan et «récupérer un peu de la fatigue occasionnée par cette affection». L'accident vasculaire, explique le professeur, survient généralement à la suite de deux causes : soit hémorragique, cas écarté «fort heureusement», soit ischémique par manque de vascularisation d'une petite partie du cerveau lié «probablement à la migration d'une plaque athéromateuse».