Nous savons tous que la police d'avant n'est pas du tout la même que celle d'aujourd'hui puisque l'Algerie va fêter son 60e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale du 1er Novembre 1954 et que l'Etat a consenti des efforts grandioses pour la modernisation et le professionalisme de l'institution de la police. Ces efforts ont permis d'avoir une police moderne,professionnelle, digne et compétente, prête à relever tous les défis pour assurer les missions qui lui sont dévolues à savoir la protection des personnes et des biens. Il faut savoir que le policier provient de la société algérienne, ce sont là des affirmations d'un officier de police qui connaît bien son métier et qui veille à ce que les lois de la République soient appliquées dans toute leur rigueur mais sans excès de zéle et en toute légalité et professionnalisme. On est convaincu de ce que la police fait : défendre son pays et les intérêts de celui-ci, c'est un devoir pour tout un chacun. Pour ceux qui ne le savent pas, le commissaire principal Djamel est un fils de moudjahid et son éducation s'est faite dans l'esprit patriotique et l'amour du pays par une mère qui a veillé au grain pour lui inculquer les principes fondamentaux du respect d'autrui et du savoir se faire respecter. Les clés de sa réussite dans le métier sont le sérieux et l'engagement de l'amour du travail et de la patrie. Djamel l'émigré comme aiment à le surnommer les habitants de Bordj Menaiel a été élevé en France, certes, mais son éducation s'est faite dans un esprit nationaliste, patriotique, issue de la jeune génération de l'après indépendance digne de cette chère patrie qu'est l'Algérie. C' est un personnage calme et serein, un policier qui aime beaucoup son métier et qui est en charge de la circonscription de la sûreté et de la BMPJ de Cap-Djinet rattachée à Bordj Menaïel, du poste de police maritime frontalier de Zemmouri et autres... En somme, il est responsable de plus de 200 000 âmes. Nous savons que tous les policiers sont la plupart des enfants de l'indépendance qui ont choisi ce métier noble et qui sont déterminés grâce à la conjugaison des efforts de tout un chacun, à aller de l'avant dans la mission de sécuriser des biens et personnes. La direction nationale de la sûreté de wilaya de Boumerdès et à sa tête le premier responsable de cette institution en l'occurrence M. Badaoui, veille au grain en supervisant en étroite collaboration les opérations de contrôle et de recherches par une meilleure prise en charge des préoccupations de la population. L'Algérie fête le 60e eme anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale et qui avait vu des hommes au sens propre du mot prendre les armes pour combattre l'oppresseur. Le pays a sacrifié un million et demi de martyrs pour se libérer du joug colonial. Une fois l'indépendance acquise, il fallait engager un autre combat celui de la construction d'un étato moderne. Il fallait bien avoir un service de police, de gendarmerie, des douanes, des finances et pour cela un recrutement massif s'était effectué au niveau des institutions étatiques avec un niveau d'instruction acceptable ce qui n'est pas le cas aujourd'hui car pour être un officier de métier. Ainsi, il faut posséder avoor des bagages pour postuler à un poste de responsable et avoir fait l'école supérieure de police. Le responsable de la sûreté de daïra de Bordj Menaïel est un personnage volontaire, pondéré et un pur produit de l'après-révolution.