Le virus Ebola continue de faire des victimes ; les «humanistes» accourent de toutes parts pour sauver ces malheureux africains. Un spectacle pathétique que d'aucuns y adhèrent sans pour autant se douter des soubassements de cette funeste comédie. Le journaliste d'investigation Gordon Thomas, dans son livre «les armes secrètes de la CIA», avait pourtant alerté l'opinion sur ces expériences macabres orchestrées par les «savants» de la CIA sur des «sujets jetables». Cela dit, une petite rétrospective s'impose. Le touriste en visite aux Etats-Unis, lorsqu'il quitte Washington, D.C. pour se rendre sur le champ de bataille de Gettysburg (Guerre de Sécession, 1863 - bilan : 7 000 morts et 25 000 blessés en trois jours), ne se doute pas qu'il passe à proximité de la plus dangereuse usine de guerre bactériologique qui soit au monde. Fort Detrick (Maryland) est non seulement synonyme d'anthrax, de variole et d'autres épouvantables maladies, c'est aussi l'endroit d'où est très vraisemblablement sorti le virus du sida. Robert Gallo, qui passe pour un des «découvreurs» de la maladie, a dirigé le département de virologie de ce laboratoire de l'armée dans la seconde moitié des années 1970. Le professeur Jakob Segal a révélé en 1986 de quelle manière le virus a été «fabriqué» puis «expérimenté» sur des prisonniers de droit commun, d'où sa propagation initiale dans les milieux homosexuels. Segal étant d'origine russe et ayant enseigné dans une université est-allemande, sa théorie a bien entendu aussitôt été rejetée comme une vulgaire machination du KGB. Il se trouve pourtant que les activités de Segal n'étaient guère appréciées des autorités soviétiques de l'époque, plutôt désireuses d'étouffer toute polémique sur ce plan avec le gouvernement américain - perestroïka oblige. Durant les dernières années de la RDA, Segal faisait en fait figure de dissident dans son pays. Il est possible que les ravages du sida en Afrique soient la conséquence de la campagne de vaccination antivariolique menée par l'OMS à la fin des années 1970, le nouveau virus ayant été mêlé au vaccin à titre «expérimental», dans le cadre d'une politique de dépopulation préconisée par certains dirigeants politiques, Henry Kissinger notamment. Aussi fantastique et aussi monstrueuse que paraisse la chose, les indices sont troublants. Il serait trop simple de tout nier en bloc et d'invoquer encore une fois la théorie du complot. Le 11 septembre a prouvé que la crédulité populaire n'était, au contraire, que trop répandue. Le Dr Boyd Graves, un juriste américain spécialisé dans les questions de recherche médicale, est également convaincu que le sida est sorti d'un laboratoire de l'armée US. Les preuves matérielles existent, mais elles sont sous clé. (à suivre)