Les promesses pour un tourisme de classe et de masse y compris l'indispensable promotion du produit artisanal, tous deux déférés aux quatre vents de l'histoire de notre pays, et ce, depuis plus de quatre décennies consécutifs, a été transfigurées par des traités non tenues ou le tout est avantagées par d'anciens archaïques et de révolu qui ont altéré le modernisme tant ambitionné pour ce secteur névralgique. Mme Aicha Tagabou, la ministre délégué chargée de l'artisanat qui a effectué une visite de travail et d'inspection dans la wilaya de Mascara, ce lundi 25 janvier en ce rendant dans la ville des eaux de Sidi Bouhanifia ,plus précisément sur le site d'un projet de réalisation d'un hôtel de haut gamme' Aquae –Sirenses ' ou le cout d'estimation a été évalué a 500 millions de dinars ,dont le délais de réalisation a été arrêté a 12 mois, selon les déclarations du groupe chargé de la réalisation de cette importante infrastructure hôtelière. Au chef lieu de la wilaya, la ministre a approfondi sa visite par une tournée dans deux ateliers de vente et de production artisanale ou une parade de produits artisanaux ont été exposées a la maison de l'artisanat pour la plupart amener via d'autres régions du pays, pour une histoire de remplissage de la vitrine. Apres ce cinéma digne des plus habiles agencements qui reviennent au galop comme le bon vient temps, la ministre a conduit par la suite un travail de sensibilisation sur les nouvelles dispositions et les avantages des mesures prises par la ‘Casnos', au profit des artisanats et des métiers de l'artisanat. Dans ce même contexte, la ministre n'a pas écarté d'évoquer les chances procurés par l'état aux artisans pour une couverture sociale appropriée, et ce, conformément aux dispositions des textes réglementaires régissant cette matière, du décret 289-15 du 15 novembre 2015 de la loi de finance 2015, pour la régularisation de la situation des artisans vis-à-vis de cette organisme, c'est-à-dire la ‘Casnos'. Selon Mme Aicha Tagabou, qui a avancé que son département œuvre pour une éventualité de rééchelonnement des cotisations annuelles des artisans et des métiers de l'artisanat qui devrait toucher les dettes des cotisations non couvertes. Un nouveau projet en cours, verra le département ministériel de Mme Aicha Tagabou prendre en charge les doléances concernant les inscriptions et le recensement des artisans qui manquent de visibilité ou la question du professionnalisme demeure un grillage des plus inconcevables pour le tourisme Nonobstant ces remarques qui perdure, les déclarations de la ministre chargée de l'artisanat, ont un point commun sur la question du professionnalisme des artisans et des métiers et dont la possibilité de leur permettre de changer de métier. Dopés par ses propres intentions, d'ou une nouvelle politique pour libérer les procédures bureaucratiques, a l'exemple des inscriptions administratives seront prises dans cette optique pour plus de transparence dans ce projet de promotion artisanal et touristique. Un bel exemple de ‘marché séduction', annoncé par la ministre qui consiste a une formation au profit des artisans d'où la signature d'une convention cadre entre la chambre de l'artisanat et la direction de la formation professionnelle de la wilaya afin d'assurer une certaine qualité tout en visant l'exportation. L'artisanat joue une place importante dans l'économie du pays, ce qui va aller crescendo, même s'il reste un travail de longue haleine pour séparer le bon grain de l'ivraie, et ce, faire comprendre le ‘caractère du créneau touristique ‘et ses ramures pour se détacher de la dépendance des hydrocarbures, tant criés sur les toits depuis la crise pétrolière qui secoue le pays. Pourtant le secteur du tourisme est générateur d'emplois et de source de revenus non-négligeables pour peu que les concours nécessaires soient cohérents via des responsables ayant pouvoir de décision. Les potentialités touristiques existent dans la région de Béni-Chougrane mais sont sous-exploitées, peu ou proue, ce secteur est relégué au second plan.