L'artiste peintre contemporain, «Hamza Bounoua» exposera ses œuvres à partir du mois d'avril prochain au musée de Sharjah, dans le cadre de la 8e biennale de Sharjah pour la calligraphie 2018 comme il sera, présent avec de nouveaux tableaux à la galerie «Ghaya Gallery» en Tunisie en mois de novembre prochain. Ce talentueux artiste peintre contemporain qui nous a rendu visite à la rédaction de La Nouvelle République, il revient, dans cet entretien sur ces projets et sur son riche parcours artistique. Il évoquera, notamment ses ambitions et ses expériences artistiques aux pays du Golfe, il annoncera, par ailleurs qu'il exposera ses œuvres d'art, à partir du mois d'avril prochain, au musée de Sharjah, dans le cadre de la 8e édition de la biennale de Sharjah pour la calligraphie 2018 ou (Sharjah Calligraphy Biennial 8th. Session) aux (Emirates arabes unis), organisée cette fois-ci, du 2 avril au 2 juin 2018, sous le thème «Essence». Ce rendez-vous incontournable, organisé par la Fondation d'art de Sharjah (Sharjah Art Foundation) est incontestablement devenue une manifestation majeure, d'envergure internationale, ajoutera l'artiste. A propos de cette exposition, il précisera qu'il participera à cette manifestation artistique qui attire beaucoup d'artistes dans le monde entier avec 15 œuvres d'art avec une installation en sculptures au milieu de l'exposition», a souligné, encore Hamza Bounoua. De même, cet artiste sera présent avec de nouveaux tableaux à la «Ghaya Gallery» en Tunisie, lors d'une exposition collective qui aura lieu du 3 novembre au 3 décembre prochain. Evoquant son parcours artistique, l'artiste «Hamza Bounoua» parle de son rapport avec l'art et ses inspirations dans le domaine de la calligraphie contemporaine: «Je suis, en fait inspiré par la calligraphie contemporaine et par les mouvements des lettres et par l'école des artistes «El-Houroufiya», dira-t-il encore. Au cours de cet entretien, «Hamza Bounoua» évoque, également son intérêt pour l'universalité de l'art. Il a affirmé que l'artiste cherche, toujours à exporter son art : «Pour moi, une œuvre d'art contemporaine doit, nécessairement être universelle et exprime un langage universel», insistera cet artiste. Et d'ajouter : «C'est ce que j'aime utiliser un langage universel à travers mes œuvres». Par ailleurs et toujours, lors de cette rencontre, «Hamza Bounoua», un artiste qui a forgé une renommée à partir des pays du Golfe affirme, toutefois que l'artiste, que ce soit son domaine, il doit avoir une culture large dans l'art : «Il ne doit, rien ignorer de toutes les connaissances, il est censé d'avoir une culture vaste sur les expositions, les musées, les foires internationales d'art contemporain ....Parce qu'en fait l'art joue un rôle très important dans la vie de l'artiste», fera -t-il encore remarquer. A propos de son regard sur la question de la création d'un marché de l'art en Algérie, notre interlocuteur précisera : «Pour qu'un marché de l'art existe, il faudrait commencer par pouvoir créer une génération d'artistes qui peut être créatrice à l'avenir et après on pense à créer un marché de l'art», a t-il fait savoir. Selon lui, il sera temps que nos jeunes artistes auront plus de volonté et avancent dans leur parcours culturel et artistique. En fin de cette rencontre, l'artiste revient, également sur ses participations aux grandes expositions internationales à l'instar de l'exposition «Art Dubai» au United Arab Emirates (2017), «Contemporary Areb Art» au «Markhiya gallery Duha –Qatar» (2016), «Back at black, AKAA art fair» à Paris (France-2017), (Through Letters - wadi Finan) à Amman (2017(, «Love or hate them you must create them» à la «Gallery GHAYA» (Tunisie, 2015) ainsi que l'exposition «Portal to Enigma 2» au Bastion, (Alger 2013), «Portal to Enigma - agora art gallery» à New York en 2012, «Art street fair» au Canada en 2005 .comme il a exposé dans les plus grandes salles d'expositions dans le monde comme : «Wadi Finan art gallery» au Amman (2013), «Public Council for Culture», (La Havane Cuba (2013)), «Ro'iya art gallery», (Jeddah, Saudi Arabia (2013)), «almarkhiya gallery» à Duha, «dar al funoon art gallery», Kuwait (2009),«Albareh art gallery» (Bahrin, 2009), «Public Council for Culture», (Mexico, 2005). «Museum of Modarn and contemporary art MAMA» (Algerie, 2008). Il a, également encadré des workshops à l'occasion du Festival culturel panafricain (Algérie) en 2009, un autre workshop «Ecume group Marseille» (France) en 1999.