Pour l'instant aucune enquête n'a été déclenchée par les services de sécurité afin de pouvoir séparer le bon grain de l'ivraie en déterminant avec exactitude sur ce qui circule sur des plausibles produits périmés dans le couffin de la honte au niveau du chef-lieu de la wilaya. Il est important de souligner que les noms des malheureux bénéficiaires au total 133 noms se sont vu visualiser sur la toute nouvelle page Facebook de l'auguste Assemblée populaire communale de Mascara. Cette atteinte à la dignité humaine digne des régimes bananiers poussés le bouchon plus haut, en se permettant le luxe de mentionner, (tenez-vous bien), la filiation complète (le nom, le prénom), la date et le lieu de naissance et l'adresse, il ne manquait que le numéro de téléphone pour ceinturer cette pseudo transparence à peine déguisée par des maîtres-penseurs nouvellement installés à l'Assemblée populaire communale du chef- lieu, à l'instar des autres communes de la wilaya. Une pratique qui a été décriée par les personnes rencontrées à la maison de la presse comme étant contraire à la dignité humaine, et ce, malgré les instructions du wali au chef de daïra qui ont d'autres chats à fouetter en ces temps d'incertitudes économiques. Nonobstant ces instructions des uns et des autres pour un semblant de rafistolage afin d'apaiser les esprits les plus ternies au cours de ce premier jour de Ramadhan, jour où a été (distribué) le couffin de la honte sous les feux de la rampe assiégé par une horde humaine sans foi ni loi, et ce, devant l'indifférence des élus zélés et autres fonctionnaires non-conformistes des droits de l'Homme. Un véritable «tohu-bohu», pour un couffin de ramadhan a première vu ne vaut même pas son pesant d'or vertueux d'un grand cinéma a ciel ouvert. Revenons à nos moutons, revenons aux choses sérieuses, où des bénéficiaires qui se sont présentés à la maison de la presse «Bakhti Benaouda» tout en voulant garder l'anonymat, pour des raisons évidentes et dont on comprend très bien la réaction de ceux qui sont autour de la table de la «Zerda», qui font et défont les lois de la République comme bon vent leur semble. En effet, selon les déclarations des bénéficiaires du couffin de la honte, qui ont été unanimes pour déclarer en ces termes : Tout ce qui se trouve dans le couffin de Ramadhan, c'est du toc, sauf le sucre et peut-être l'huile qui sont authentique !. Les sachets de café qui nous ont été remis et dont nous détenons ce produit douteux d'une contenance de 250 grammes le sachet portant le labelle ‘Robusta'100%, c'est trop fort pour être croyable. Selon, les bénéficiaires rencontrés c'est du café périmé, provenant surement d'un stock mort ; une mode au balcon, et ce, à chaque mois sacré de ramadhan dans la wilaya de Mascara. Ce dernier censé aider ces familles démunies et créer leur bonheur pendant ce mois sacré est, en effet, devenu un poison pouvant mettre fin à leur vie qui a résisté, jusque là, à la pauvreté et tous les autres malheurs. Le fournisseur ou les fournisseurs indélicats en mèche avec des fonctionnaires et autres élus zélés ne savent pas à quoi ils peuvent être exposé en cas de morts d'hommes. Les produits périmés dans le couffin de ramadhan une coutume animasse, véritable danger pour la santé humaine. Retirer toute la marchandise suspecte du marché est à l'heure une priorité afin de préserver la santé publique et mettre fin à la panique semée par la scandaleuse affaire de café et autres produits douteux dans le couffin de la répartis via les commerçants accrédités par l'APC et consorts. Pour de plus amples renseignements sur le prétendu café périmé, qui faut- il appuyer, ne porte ni la date de péremption ni celui de la fabrication. En plus de cette grave affaire, les deux numéros de téléphone, c'est-à-dire le fixe et le fax, mentionnés sur le supposé sachet de 250 grammes sont bidons, c'est-à-dire inexistants, où a chaque appel de notre part vers ce fournisseur (torréfacteur) élisant siège à Sidi Bel-Abbès, c'est une cassette audible nous fait savoir que ces deux numéros n'existent plus. Le nombre important d'articles de presse qui évoquent le poids des lobbies montre que cette question occupe maintenant une place importante dans la société algérienne, y compris la presse et les réseaux sociaux, même si elle reste rarement envisagée sous l'angle d'une nécessaire régulation du lobbying et de son impact sur la décision démocratique. De même, les incessantes affaires de conflits d'intérêts au sujet de politiques, hauts fonctionnaires, jettent un doute sur l'impartialité des décisions prises... En réponse à ces abus, le lancement d'alerte et sa protection ont également surgi dans le débat. Renvoyant plus largement à la question de la démocratie, à l'exemple des pays qui se respectent. A Mascara la vie des personnes est moins prioritaire que la bonne santé des fournisseurs. Relevant du code de l'indigénat les bénéficiaires du couffin de ramadhan cuvée 2018 sont ceinturés dans une inégalité des plus ignobles de digne de l'absolutisme. La non-transparence sur la vie publique clarifie le risque du conflit d'intérêt dans ce qui se passe dans la plupart les Assemblées populaires communales, s'accumulent autour de l'évaluation des logos nourriciers, du donnant- donnant. C'est déjà peu ou prou ces histoires débiles ou l'état ou plutôt les décideurs qui sont autour de la table de décision de mettre un règlement interne pour prévenir de telles dérives afin de vérifier la pertinence de ces codes de conduites. Enfin, quelle portée ont les aides de l'Etat consenties aux couches défavorisées au cours de la période ponctuelle du Ramadhan ? Le couffin si bien nommé répond-il avec efficacité à l'attente du citoyen démuni ? Les pratiques peu orthodoxes autour d'une aide de l'Etat qui ne contente pas souvent que les nécessiteux ...C'est honteux ce qui se passe ...N'en déplaise a certains !