Les forces de sécurité ont réussi à éliminer plusieurs terroristes et ont récupérer des armes et des minutions à la suite d'une vaste opération de ratissage menée à l'Est du pays, plus précisément dans la localité de Bissi, daïra d'Azzaba, distante de 34 km du chef-lieu de wilaya. Dans le cadre de la lutte antiterroriste, et suite à une opération de fouille et de recherche dans la localité de Bissi, commune d'Azzaba, au niveau du Secteur Militaire de Skikda, en 5ème Région Militaire, un détachement de l'Armée Nationale Populaire a abattu, quatre terroristes, a indiqué un communiqué du Ministère de la défense nationale (MDN). Dans le même communiqué, le Ministre de la défense a ajouté que trois (03) pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, un (01) fusil semi-automatique de type Simonov et six (06) chargeurs garnis de munitions ont été récupérés dans cette opération. Cette opération, toujours en cours, vient s'ajouter à la série des résultats qualitatifs réalisés par les Forces de l'Armée Nationale Populaire, afin de traquer les résidus criminels, a conclu le MDN. Selon des informations qui restent à confirmer, des victimes sont à déplorées au niveau des éléments des forces armées. Il est bien entendu évident de prendre ces informations avec prudence et ce jusqu'à, confirmation ou infirmation de sources officielles. Les forces armées ont vaincu le terrorisme sur le terrain mais …… Contrairement à de nombreux pays et même des puissances de ce monde, l'Algérie a réussi à vaincre le terrorisme sur le terrain et ce grâce aux sacrifices des forces de sécurité (Tous corps confondus). Cet état de fait n'aurait pas pu se réaliser sans l'étroite collaboration des citoyens intègres qui ont rejeté la violence avaient refusé l'idéologie désastreuse de ceux qui voulaient «Renvoyer» l'Algérie au moyen âge. Comme nous l'avons à maintes reprises évoquées, le terrorisme a été vaincu mais sans qu'ils soient définitivement éliminé. Ce fléau continu malheureusement de sévir, de faire des victimes et d'endeuiller les familles Algériennes. Malgré qu'il a été vaincu sur le terrain, le terrorisme continu également de constituer une grande menace pour la nation et pour le pays. L'élimination du terrorisme doit se faire à partir de ses racines Comme nous l'avons rappelé à chaque fois, ce terrorisme barbare ne sera jamais définitivement éliminé si toutefois, il n'est pas éradiqué à partir de ses racines. Donc, il consiste à lutter contre ce «Cancer» par commencer à combattre l'intégrisme et le fondamentalisme les principaux facteurs qui «Maintiennent en vie» cette calamité. Nous n'apprenons rien à personne en disant que le fondamentalisme et l'intégrisme religieux sont l'antichambre du terrorisme. Ce fléau continuera également à sévir si toutefois il ne sera pas mis fin aux activités des mouvements, organisations et les associations qui assurent aux groupes armés, le recrutement, la logistique, le financement, les renseignements et surtout la couverture politique. Les mesures de clémence ne doivent pas être une «Immunité» à vie Depuis plusieurs années, l'Etat a mis en place plusieurs mesures de clémences pour permettre aux « Egarés » et à ceux qui avaient été enduit en erreur de déposer les armes et de revenir à leurs familles. La loi de la concorde civile promulguée en 1995 et la «Réconciliation nationale» mise en place en 2005 ont permis à ceux qui avaient pris les armes contre leur propre peuple et leur Etat de rentrer chez eux. Des milliers de terroristes ont bénéficié de ces mesures de clémence pour se rendre aux autorités du pays et furent libérés. Ce qui est regrettable est que certains ex-responsables des groupes armés qui avaient été graciés profitent de la clémence de l'Etat pour continuer à inciter les citoyens à la violence et à la rébellion. Il est de même pour les terroristes qui ont rejoint les groupes armés après la mise en place de la concorde civile et de la réconciliation nationale. Certains individus ont même rejoint les forces du mal durant les dernières années 2016, 2017 et 2018. Les familles des victimes du terrorisme, les organisations non gouvernementales, les représentants de la société civile et même des partis politiques souhaitent que les individus en question ne soient pas concernés par la réconciliation nationale. «Nous lançons un appel au Président de la République et à l'ensemble des autorités du pays afin d'exclure des mesures de clémence, les individus qui refusent la main tendue de l'état et ceux avaient rejoint durant ces dernières les groupes armés, ont-ils indiqués.