Une fusillade a éclaté dans la nuit du mardi au mercredi à proximité d'un marché de Noël à Strasbourg (France). Selon un premier bilan qui pourrait être revu à la hausse, trois personnes sont décédées et douze autres blessées dont six se trouvent dans un état grave, ont indiqué les autorités françaises. Selon des sources concordantes, l'assaillant a tiré à plusieurs reprises sur des passants tuant trois passants et blessant grièvement douze autres. Treize autres personnes ont été blessées par le tireur dont six se trouvent dans un état grave ont indiqué les autorités françaises. Les mêmes sources ont indiqué que l'assaillant aurait été identifié activement recherché. Le suspect qui aurait été touché par des tirs des militaires a réussi à prendre la fuite à bord d'une voiture «taxi». Le chauffeur de cette voiture qui aurait été braqué par l'assaillant a été retrouvé par les services de sécurité. Entendu par la police durant la nuit, il a indiqué que son «braqueur» l'aurait relâché quelque part en ville et qu'il était blessé. L'assaillant a été rapidement identifié, il est âgé de 29 ans est natif de Strasbourg. Au début, la piste de l'attentat a été évoquée au début après que le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête. S'exprimant aux journalistes, le secrétaire d'Etat auprès du ministère de l'Intérieur a indiqué qu'a ce stade, la piste terroriste n'a pas été établie et qu'il faut rester toutefois prudent. Selon des sources proches de l'enquête, le suspect a été à plusieurs fois condamné en France et en Allemagne pour des délits de droit commun. Quelques minutes seulement après la fusillade, la préfecture de Strasbourg a invité les habitants à rester chez eux. Le ministre de l'Intérieur qui est arrivé sur place a déclaré que l'auteur de la fusillade est connu des services de police en droit commun et fiché «S». M. Castaner a fait «la posture vigie pirate (était) actuellement renforcée en France», et que «le gouvernement (avait) décidé de passer en urgence attentat avec des contrôles renforcés aux frontières, et la mise en place de contrôles renforcés sur l'ensemble des marchés de Noël qui se dérouleraient en France pour éviter des risques de mimétisme». «Il y aura aussi un complément de mobilisation plus fort encore du dispositif Sentinelle sur l'ensemble du territoire Français», a-t-il expliqué. Il est toujours en fuite et une «chasse à l'homme» a été déclenchée mais sans résultat pour l'instant. Introuvable, il est fort probable que le suspect aurait franchi la frontière en direction de l'Allemagne. Alertée par les autorités françaises, les services de sécurité allemandes ont renforcé le contrôle des frontières et on procédé aux vérifications des usagers de la route. A ce même moment des hélicoptères ont survolés la zone de la fusillade alors que prés de 220 gendarme et 420 policiers ont été mobilisés pour retrouver l'assaillant. Nous avons appris également que le domicile du suspect a été perquisitionné durant la matinée du Mercredi par les gendarmes dans le cadre d'une affaire de braquage à main armée. Il n'a pas été retrouvé chez lui mais les gendarmes ont retrouvé des grenades et une arme qui serait une carabine 22LR (Long Rifle). Quelques minutes après la fusillade, le président de la République française a été informé de cet événement. Il a écourté sa réunion pour continuer à suivre l'évolution de la situation a indiqué la présidence de la République. Nous avons également appris que le chef de l'Etat français M. Emmanuel Macron s'est rendu à pied à place Beauvau ou il a tenu une réunion avec ses proches collaborateurs. Une réunion la cellule interministérielle s'est tenue en présence du chef de l'Etat français en présence du premier ministre Édouard Philippe, Laurent Nuñez (Intérieur), Agnès Buzyn (Solidarité et Santé) et de Florence Parly (Armées), a-t-on appris. Le risque d'attentat reste entier dans les quatre coins du monde En ces jours de fêtes de fin d'année des milliers de personne dans le monde se préparent pour fêter Noël et la Saint Sylvestre. A ce même moment, des forces du mal et des «bombes humaines» se préparent également non pas pour la fête mais pour transformer la joie drame et en deuil. Comme d'habitude, les citoyens ont commencé à décorer leurs foyers et les lieux ou ils ont choisi de passer les fêtes de fin d'année. Dans les habitations des sapins illuminent les vies, donnant du bonheur aux enfants, aux jeunes et aux adultes. Profitant de cet événement, des individus endoctrinés activent avec un seul objectif à savoir : Semer la terreur et faire le maximum de victimes. Aveuglés par l'ignorance, la haine et par l'obscurantisme, ces individus qui souhaitent mourir en «Martyr» selon eux. Si les forces de sécurité sont sur le qui-vive, les citoyens devraient être vigilants et sont obligés à signaler aux policiers et aux gendarmes, n'importe quel colis, véhicules ou individus suspects. Laurent Wauquiez, Président du parti les Républicains : «L'intérêt de la France passe avant toute chose» Décidément, c'est dans les moments forts que les peuples arrivent à faire la différence entre les responsables politiques honnêtes qui passent l'intérêt du pays avant celui du parti ou personnel. C'est le cas de M. Laurent Wauquiez, président du Parti les Républicains (LR) qui a demandé l'arrêt des manifestations. M. Laurent Wauquiez qui s'est exprimé avant la fusillade sur une chaine de télévision française a indiqué, je cite : «Je souhaite que les manifestations s'arrêtent pour ne peut abimer davantage la France». M. Laurent Wauquiez faisait allusion aux attroupements illégaux desdits «Gilets-jaunes» ou les «Casseurs profitent pour détruire les institutions de l'Etat, piller les magasins et surtout s'attaquer aux forces de police et aux valeurs de la République. La France est un pays de droit, les manifestations sont garanties par les lois de la République mais cela ne peut en aucun cas permettre à certains gens de franchir les lignes rouges. A ce sujet, M. Laurent Wauquiez n'a pas mâché ses mots, appelant les gilets jaunes à ne pas descendre dans la rue ce samedi, comme cela a été le cas ces quatre dernières semaines. Ecoutons M. Laurent Wauquiez Président du parti «Les Républicains» : «Je le dis mon souhait est que, samedi, il n'y ait pas de manifestation, parce que je considère qu'on a une autre responsabilité. Notre responsabilité c'est l'intérêt de la France». «Est-ce que je suis convaincu par Emmanuel Macron ? Non. Est-ce que je considère que ses annonces répondent à tous les sujets? Sûrement pas. Il y a quelque chose de plus important: tous, faire en sorte qu'on arrête d'abîmer la France». «Il faut qu'on puisse retrouver un dialogue qui soit serein». Que ça permette d'améliorer les mesures, de corriger les erreurs, que ça permette une vraie sortie de crise. C'est là-dessus que je m'engage. Estimant qu'on ne pouvait «rien construire» sur «le chaos, les destructions et les attaques contre les forces de l'ordre». M. Laurent Wauquiez a condamné les «extrêmes qui poussent selon lui, jusqu'au bout». L'intervention de M. Laurent Wauquiez, Président du parti «Les Républicains» a trouvé un large écho au sein de la population. «Voila les «Hommes» qui s'inquiètent de la sécurité des Français et de leurs biens et de la sérénité du pays», nous a déclaré M. Gérard. Certains français avec qui nous avons discutés ont indiqué qu'ils regrettent que certains chefs de partis n'ont pas condamnés les violences contre les forces de sécurité et contre les institutions de l'état et continuent de «souffler» sur les cendres encore chaudes, ont-ils conclu. Nous y reviendrons.