Nous avons franchi largement toutes les limites de ce qui était supportable ! La falsification est tellement grossière, odieuse, insupportable, permanente, de toute part, sans limites, résolument relayée par les médias occidentaux complaisants, inféodés, qu'il est devenu impossible de continuer à vivre ainsi, baignant dans un mensonge permanent devenu la « post-vérité », dans une continuelle inversion de la réalité, que ce soit sur le thème du Coronavirus, des « vaccins » et de leurs conséquences désastreuses ou que ce soit sur celui de la guerre contre la Russie, recherchée par tous les moyens et avec acharnement par les Etats-Unis d'Amérique et leurs valets de service. 1. Concernant la guerre contre la Russie En termes « d'inversion de la réalité », nous avons encore un exemple retentissant lorsque Macron déclarait, il y a quelques jours, qu'il fallait « abolir les réseaux sociaux porteurs d'une désinformation trop importante », tout en faisant un discours à l'ONU dans lequel tout était travesti, falsifié, détourné dans un art consommé du faussaire accompli ! Il était suivi dans cette déclaration par le Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, qui demandait aux dirigeants du monde à l'ONU, le 23 septembre dernier, d'abolir la liberté d'expression, car, disait-elle : « C'est une arme de guerre ! ». Elle appelait à la censure des « opinions dissidentes » à l'échelle mondiale pour lutter contre la « désinformation » . Aucune personne normalement constituée n'aurait pu imaginer qu'on puisse arriver si vite à une telle dégénérescence et tomber dans un tel mensonge et dans une telle décadence généralisée des gouvernants en Occident ! Aujourd'hui, l'OTAN, c'est-à-dire les USA, nos pires ennemis, ont décidé de saboter les deux gazoducs : le Nord Stream 1 et le Nord Stream 2, entraînant pour l'Allemagne et la France, en particulier, des conséquences dramatiques pour des millions de personnes et une catastrophe supplémentaire sur le plan économique ! Nous devons ce nouveau malheur pour nos peuples, à nos « meilleurs amis de toujours ». En Ukraine, le crime est devenu la normalité ; cette perversion criminelle nous laisse dans la sidération totale : le site d'une ONG ukrainienne appelée Myrotvorets, conçu à Kiev, encourage et organise le meurtre de tous ceux qui critiquent et dénoncent les crimes abominables des Ukronazis de Zelensky. Ce site affiche une liste de personnes à « liquider ». Un certain nombre de journalistes, personnalités politiques et gens influents ont déjà été tués par les agents des services spéciaux du régime nazi de Kiev. Dernièrement, chacun sait comment la ressortissante russe Daria Douguine a été tuée : elle était sur la liste des gens « à liquider ». Des personnalités politiques Françaises comme Jean Luc Mélenchon ou Ségolène Royal et d'autres encore sont listées comme ennemies de l'Ukraine à « liquider ». Des Russes vivant en France et ayant la nationalité française voient aujourd'hui leur compte en banque bloqué, simplement parce qu'ils sont russes d'origine. Les Russes qui font des études en France ne peuvent plus aller en Préfecture pour renouveler leurs papiers de séjour, simplement parce qu'ils sont Russes et sont ainsi condamnés à la clandestinité et à la répression qui les menace désormais, comme au temps de Vichy et de l'occupation nazie. Que ce soit l'histoire, les sacrifices consentis, où la géopolitique, la légitimité incontestable à défendre ses intérêts les plus fondamentaux, conformément aux traités internationaux, absolument tout donne raison à la Russie et tort aux USA qui sont à l'initiative des provocations, des opérations illégales, criminelles, des sanctions arbitraires, des manipulations de l'UE au service des seuls intérêts américains contraires à ceux des peuples qui la composent, des violences faites au peuple russe et aux peuples européens qui sont les premiers à souffrir des manœuvres exécrables de Washington...S'il fallait faire la liste de toutes les initiatives odieuses, criminelles et hautement perverses de l'Etat profond US dans le monde, ce sont des bibliothèques entières qu'il faudrait écrire. Aucune civilisation dans toute l'histoire de l'humanité n'aura été aussi loin dans la criminalité et la perversion que les Etats-Unis d'Amérique. La tyrannie américaine, au nom d'une affirmation sectaire qui la pousse à se prendre pour « l'axe du bien », doit être abolie définitivement. Sans cela, l'humanité verra prochainement son élimination définitive du projet inhérent à toute l'histoire de l'évolution au sein de la cosmogenèse. La vie sur Terre restera une chose envisageable si les « straussiens » des USA veillant à l'avènement du Nouvel Ordre Mondial, perdent ce pouvoir qu'ils se sont attribué en toute illégalité et illégitimité voulant, de surcroît, l'imposer au monde entier. Concernant le feuilleton Coronavirus Ce qui entraîne aujourd'hui notre profonde indignation, ce sont les paroles prononcées très « sérieusement » par l'Ordre des Avocats, convaincu d'une légitimité indiscutable dans ses prises de position contre l'Avocat Maître Di Vizio ! On est là encore sidéré par un tel aveuglement, par le fait qu'une telle conviction de légitimité allant de soi puisse entraîner la condamnation d'un homme qui n'a aucune peine à démontrer que, dans cette affaire, la vérité et le bon sens sont littéralement piétinés. On se demande tous : « mais qu'est-ce qui leur arrive à tous ces gens qui ont basculé dans un délire collectif, pour ne plus être capables de réaliser le moindre discernement de la raison et du bon sens ? ». On en revient à l'explication, déjà donnée dans un article passé, édité sur ce média, le 31 août 20206. par « La rumeur d'Orléans » : ce mécanisme psychologique qui explique comment une population entière se met à adhérer à une rumeur, à un mensonge avéré, à une propagande, à une manipulation, à un dressage à la servitude volontaire... en perdant de vue tout discernement possible opéré par la capacité rationnelle d'une intelligence court-circuitée au préalable par le délire hystérique initié au moment du déclenchement de la rumeur, lourdement appuyé par une savante agitation de la peur. On redécouvre à cette occasion la réalité du délire que nous avions déjà commenté en 2020 et qui continue sur la même trajectoire, malgré tous les éléments nouveaux et tellement documentés qui se sont accumulés depuis le début 2020. Les comportements du Conseil de l'Ordre des avocats comme celui du Conseil de l'Ordre des médecins, demeurent sidérants, sans explication rationnelle. Seule la démonstration du délire collectif via l'hypnose collective à partir d'une rumeur provoquée volontairement par la volonté criminelle de ceux qui ont imaginé cette mise en scène, reste l'explication la plus satisfaisante, car elle analyse les rouages du fonctionnement intra psychique humain dont on connaît parfaitement aujourd'hui les clés de sa manipulation. On reproche à Maître Di Vizio, un « manque de conscience, de dignité, de probité, d'humanité, d'honneur, de confraternité, de délicatesse, de modération, de courtoisie, et à l'égard de ses clients, de prudence... ». On lui reproche également d'avoir tenu, « de façon répétée, des propos grossiers, vulgaires et offensants, sur les réseaux sociaux, entre avril 2020 et octobre 2021... et un comportement impétueux pouvant nuire à l'image de la profession d'avocat ». L'Ordre des Avocats accusait Maître Di Vizio d'être vulgaire dans ses propos. On reprochait en quelque sorte, à Maître Di Vizio, d'avoir violé à lui tout seul la totalité du code de déontologie des Avocats ! Il répondait à l'Ordre des avocats que lorsqu'on reprochait à Emmanuel Macron sa vulgarité, on répliquait « qu'il parlait comme les Français » ! Maître Di Vizio concluait donc à son tour qu'il parlait comme un Président. Il continue en disant : « Au professeur Didier Raoult, on reproche ce qu'il a dit, au Professeur Perronne on reproche ce qu'il a fait et à moi on reproche ce que j'ai dit et ce que j'ai fait, ainsi la boucle est bouclée... ! ». On rappelle à cette occasion que ce ne sont pas les Institutions compétentes, comme l'IGAS, qui se seraient mobilisées contre le Pr Raoult ou Perronne ou contre Maître Di vizio, pour la simple raison qu'il n'y avait aucun motif de le faire, c'est le gouvernement qui s'est saisis de ces dossiers. Tout est dit à travers ce simple fait du manque évident d'impartialité, quand le Gouvernement est en réalité à la fois l'accusateur, le juge, le défenseur public et celui qui condamne, il ne s'agit ni plus ni moins que d'un totalitarisme ou d'une farce de mauvais goût. On a pulvérisé tous les dépassements de limites dans cet inacceptable sidérant. Ce système pervers n'a aucune légitimité, personne ne doit se soumettre à ce genre de guignolerie organisée par des pervers, ni reconnaître un pouvoir qui en soi est illégitime, usurpé par la falsification, et qui fait la fête en maltraitant les opposants à sa perversion. Faut-il encore argumenter sur le savoir-faire des manipulateurs de l'école des « Young Global leaders » appuyés par les moyens gigantesques des mondialistes qui placent qui ils veulent, quand ils veulent, aux commandes des nations dépouillées de leur souveraineté ? Ce n'est pas la documentation qui manque sur le sujet et chacun, à condition de le vouloir, peut s'informer facilement à ce propos. Maître Di Vizio disait encore : « Nous avons une justice à trois vitesses, une médecine à trois vitesses et une liberté à trois vitesses ! Nous avons celle des ultra-privilégiés qui représentent une toute petite caste ; nous avons celle des privilégiés qui toujours s'arrangeront des combines et nous avons celle du « vulgus », du peuple... » Quand le peuple dit qu'il est « dans la merde », explique Di Vizio, on peut comprendre pourquoi les ultra-privilégiés et les privilégiés sont choqués par ces propos, alors qu'eux-mêmes ne sont pas concernés par la « merde » ! Il est normal de s'indigner lorsqu'un chirurgien refuse d'opérer un genou d'une gamine de 13 ans, parce qu'elle n'est pas « vaccinée ». C'est normal de s'indigner lorsqu'un jeune homme de 18 ans est retiré d'office d'une liste d'attente de greffe rénale parce qu'il n'est pas « vacciné ». Mais en réalité, dans la société criminelle délirante qui est devenue celle qu'on connaît, on s'indigne bêtement pour des choses sans importance, ridicules, et l'on ne s'indigne pas, par exemple, pour ces deux cas de grave maltraitance de jeunes non « vaccinés », explique encore Di Vizio, sachant de surcroît qu'il ne s'agit pas de vaccins, mais d'injections expérimentales en phase d'essai, ne protégeant pas de l'infection et ne protégeant pas les autres d'être infectés, provoquant une série de graves et potentiels effets secondaires irréversibles ou mortels. Toutes les figures de l'opposition sont convoquées une à une, devant des tribunaux d'inquisition et redécouvrent à cette occasion le visage de Torquemada ressuscité qui fait valoir la supériorité de la pensée unique, de la soumission au narratif dogmatique du pouvoir pervers en place, de la propagande seule autorisée, de la mort de toute liberté d'expression. Un ministre de la République, Gabriel Attal, a osé demander à un animateur de plateau de télévision de ne « plus inviter Maître Di Vizio ». On est entré dans une « culture » du politiquement correct et de la pensée unique : une seule pensée est tolérée, un seul discours est autorisé, tout le reste qui n'est pas conforme à ce nouveau wokisme dévoyé est censuré, combattu, sanctionné, réprimé. On ne peut pas parler « d'apartheid sanitaire » par exemple, explique Di Vizio, alors qu'il s'agit rigoureusement de cela. Nous sommes bel et bien dans un totalitarisme où tout divergeant est sanctionné, pourchassé, maltraité et interdit d'existence. C'est la réalité d'aujourd'hui en France et ailleurs, dans laquelle celui qui pense librement est un ennemi du système qu'il faut exterminer. Que chacun regarde en face l'aberration dans laquelle nous sommes tombés ; que chacun laisse vivre sa légitime indignation ; que chacun exprime sa révolte, sa colère, son refus d'une telle dérive, d'une telle décadence et qu'il reprenne en mains sa vie, sa liberté, sa légitimité et sa souveraineté, en se moquant résolument de cette perversion qui prétend nous imposer sa loi délirante et le mal dont elle est la servante. Indignez-vous, c'est le commencement de la révolte. Indignez-vous, c'est la voie naturelle de la résistance. Indignez-vous, c'est ce qui nourrit la légitimité du combat et des choix que nous faisons dès maintenant pour un « vivre autrement » et un « vivre bien », dans la liberté, dans la justice et dans la complémentarité des qualités et des ressources humaines...