La trêve humanitaire entre la résistance palestinienne et l'entité sioniste à Ghaza est entrée en vigueur durant la matinée d'hier vendredi et les premiers prisonniers ont été libérés dans l'après-midi. Annoncée par le porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères, Majed Al-Ansari, ce dernier a fait état, avant-hier, d'une « pause humanitaire » à) Ghaza. Une pause humanitaire qui a débuté à 7h00 (5h00 GMT) du vendredi d'hier (…) et le premier groupe de civils (prisonniers) ont été aux libérés aux alentours de 16h00 (14h00 GMT) du même jour. Un jour avant l'annonce d'une trêve humanitaire entre Hamas et l'entité sioniste, le porte-parole du ministère qatari des Affaires étrangères, Majed Al-Ansari, avait déclaré que 13 otages détenus par la résistance palestinienne du Hamas dans la bande de Ghaza, seront relâchés (vendredi d'hier) tandis qu'un nombre encore inconnu de prisonniers palestiniens détenus par l'entité sioniste seront libérés au même moment. «Un certain nombre de civils seront libérés chaque jour pour atteindre comme prévu un total de 50 à la fin des quatre jours» de trêve, a-t-il ajouté. L'accord, obtenu mercredi grâce à une médiation du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, porte sur une trêve renouvelable doublée d'un échange de 50 prisonniers retenus à Ghaza contre 150 Palestiniens détenus dans trois prisons de l'occupant. Il a été annoncé mercredi au 47e jour de l'agression sioniste déclenchée le 7 octobre. L'entité sioniste a bombardé sans relâche la bande de Ghaza, où plus de 14.000 Palestiniens sont tombés en martyrs, incluant plus de 5.800 enfants.