M. Olivier Véran, en porte-parole du gouvernement français, lors d'une conférence de presse, s'est retrouvé dans une position embarrassante (1) sur le rôle de la France à Gaza, à la question et les faits présentés par une journaliste. Comme cette initiative de 16 sénateurs/trices (15), visant à assimiler antisionisme et antisémitisme comme le suggère E. Macron lorsqu'il a déclaré (16) que « nous ne céderons rien à l'antisionisme, car c'est la forme réinventée de l'antisémitisme ». Une idée qui ne vient pas de son intelligence, mais des pressions sionistes du CRIF. Sur ce sujet de l'antisémitisme, il est bon de rappeler 2 vidéos » où Roger Dommergue (endocrinologue et écrivain) est intervenu. Dans l'une, il dit que « L'antisémitisme est dans le Juif » (17) en mettant en garde ses coreligionnaires juifs. On peut imaginer leur degré d'aliénation en prenant l'exemple de Netanyahu dans ce débat où il prétend être le meneur (18) ou cette déclaration biscornue de l'avocat d'Epstein, Dershowitz, (19) (lui-même ayant ''visité'' « l'île de la pédophilie » – Iles Vierges) qui estime qu'il est ''antisémite'' de vouloir consulter la liste d'Epstein. Il n'est donc pas étonnant que les sionistes piétinent allègrement toutes les valeurs, toutes les lois, crachent sur toutes les autres religions et les «ONG», imposent leurs lois scélérates à l'Occident, s'emploient à leur faire légiférer que toute critique du sionisme et d'Israel doit être considéré « antisémite » si eux le jugent ainsi ! Ce comportement est dans l'âme du sionisme comme le prouvent ces deux citations sionistes sur la haine et le racisme (20): « Entre nous, il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour les deux peuples dans ce pays… il n'y a pas d'autre moyen que de transférer les Arabes vers les pays voisins, il ne faut pas laisser un seul village, pas une seule tribu. » (Yosef Weitz du Fonds national juif, journal intime, 1940). « Je jure que si j'étais juste un civil israélien et que je rencontrais un Palestinien, je le brûlerais et je le ferais souffrir avant de le tuer. D'un seul coup, j'ai tué 750 Palestiniens (à Rafah en 1956). Je voulais encourager mes soldats en violant des filles arabes, car la femme palestinienne est une esclave pour les Juifs... et personne ne nous dit ce que nous devons faire, mais nous disons aux autres ce qu'ils doivent faire. » (Ariel Sharon, dans une interview avec le général Ouze Merham, 1956). Ou bien ce rabbin extrémiste, Eliezer Kashtiel, qui croit aux vertus du racisme (21) ou encore cette vidéo où des rabbins donnent « raison à Hitler (22) qui s'est juste trompé de race supérieure ». Hitler a bien disparu pour ces raisons ! Ces déclarations n'inquiètent pas la doxa occidentale, dont la France. Parmi les crimes de guerre que ne voit pas Macron et ses affidés, voici par exemple, sur ces deux vidéos ; un haut fait d'armes (23) accompli par un « sniper » de la brave armée sioniste tirant sur une femme avec un drapeau blanc et un véhicule qui a roulé sur le cadavre d'un Palestinien abattu ! On parle de l'armée Tsahal ! (Pour l'anecdote, le hasard a fait qu'en inversant les lettres, on obtient «a hast», une arme préhistorique aussi archaïque que la «morale» de cette armée). L'intelligence de Macron est-t-elle bloquée au point d'occulter ces actes barbares et de nier le droit qui dit que c'est aux colonisateurs de quitter les terres usurpées et non aux colonisés de les abandonner ? Les lois de tous les pays expulsent le squatteur d'une maison et non son propriétaire, non ? Le monde sait que les sionistes veulent que le droit international soit adapté à leur idéologie, objectifs et travers. Ceux qui gouvernent la France « démocratique » ne peuvent pas voir et accepter la réalité en cours à Gaza et dire la vérité au lieu de faire l'autruche ? Pas de courage ? Perte de souveraineté ? Au moins perroqueter ce que rapportent des Juifs eux-mêmes ! A l'exemple de Gideon Levy dans un article sur Haaretz du 31/12/2023 intitulé : « Il est impossible de décrire le degré de mort et de destruction à Gaza » publié par « Les 7 du Québec » (24). Extrait : « Le mal ne peut plus être caché. Même la combinaison gagnante israélienne de victimisation, de Yiddishkeit, de peuple élu et d'Holocauste ne peut plus brouiller les pistes... Le propagandiste qui pourrait expliquer l'assassinat de 162 enfants en un jour – un chiffre rapporté par les médias sociaux cette semaine – n'est pas encore né, sans parler de l'assassinat de quelque 10 000 enfants en deux mois…» On ne doit pas oublier que la France a commis des génocides en Afrique ; il est donc douteux qu'elle ne soutienne pas, avec la façon qu'elle le fait, son semblable, Israel. Rappelons : le génocide camerounais (25) entre 1954 et 1970 ; son rôle dans le génocide au Rwanda (26); les massacres du 08 mai 1945 (27) en Algérie ; les razzias du général Lamoricière à la terre brûlée (28) ; les massacres à Madagascar (29) en 1947. A défaut d'une politique intelligente, honnête et régulière, surtout en Afrique subsaharienne, la France a bien perdu ce qui a fait d'elle une puissance, qui lui a permis d'accumuler des richesses et de vivre au-dessus de ses moyens ! Autres temps, autres mœurs. Au lieu de remettre en cause leur politiques et attitudes, le magazine Marianne (30) relaie l'idée que la cause vient de la main de La Chine, la Russie et la Turquie qui « ont entrepris de nous chasser d'Afrique par tous les moyens possibles. Cependant, 62% des Français sont pessimistes pour les relations entre la France et l'Afrique (31) et 60% n'ont pas confiance en Emmanuel Macron pour mettre en place « une nouvelle relation, équilibrée, réciproque et responsable ». L'état de la France Ceux qui, de Biden à Rishi Sunak à Macron, n'ont pas eu la sagesse et l'intelligence de raisonner leur partenaire pour freiner sa dérive diabolique verront bientôt les conséquences de leur parti-pris car, comme prévisible, les Etats-Unis et le Royaume-Uni, ont décidé, sans être agressé, d'attaquer illégalement le Yémen pour les intérêts d'Israel (et l'enhardir) et non pour « sauvegarder le commerce maritime international ». L'extension du conflit commence donc. Les dirigeants de France seraient bien avisés s'ils évitaient l'activisme débridé, qui leur vaut des ennemis intérieurs et extérieurs, et s'occuper des intérêts de leur pays et de leur peuple, dont une partie sombre dans la pauvreté. Selon les estimations de l'Insee de 2021, (32) il y aurait 9,2 millions de pauvres (14,5%), vivant sous le seuil de pauvreté monétaire fixé à 1158 euros par mois dont la moitié a un niveau de vie inférieur à 924 euros par mois. Une autre source, comme la fondation Abbé Pierre, datant de février 2023, signale que 1,6 million de personnes pauvres échappent aux statistiques de l'Insee. Les raisons sont multiples, dont l'inflation, les sanctions contre la Russie et la planche à billets. Une enquête de l'Ifop (33) a rapporté qu'au 10 du mois, et après les charges, 31% des Français déclarent qu'il leur reste moins de 100 € sur leur compte en banque, se retrouvant avec un « reste à vivre » insuffisant pour s'alimenter correctement. 10% admettent être à découvert. L'état de pauvreté est démontré, aussi, par les ''écologistes'' en faisant passer une proposition de loi autorisant la location de voitures destinées à la casse (34), donc des voitures polluantes, afin d'aider les ménages modestes. Ajoutons les graves problèmes auxquels sont confrontés les agriculteurs (35) qui « dénoncent les normes administratives et la concurrence ''déloyale'' de certains pays européens ainsi que les taxes et contraintes qui les étouffent » au profit de l'industrie agro-alimentaire. En fin de compte, c'est toujours les simples citoyens qui se retrouvent dans la précarité du fait de la politique irrationnel de leurs dirigeants. Selon la Banque de France, (36) l'inflation a atteint une moyenne annuelle de 5,7 % en 2023. Le taux de croissance est estimé à 0,8 % pour 2023 avec une prévision de 0,9 pour 2024. Pour ce qui est des défaillances d'entreprises (37), la Banque a enregistré une progression atteignant un total de 55 492 à fin décembre 2023 dont 55.435 sont des PME. Quant à la dette publique, l'INSEE a enregistré, (38) à la fin du troisième trimestre 2023, une dette publique de 3 088,2 Md €, soit une augmentation de 41,3 Md €, après +34,5 Md € au trimestre précédent. Elle représente 111,7% du PIB. Une augmentation résultant de celle de l'Etat (2510,2 Md €), par l'émission des titres obligataires principalement de long terme. Finalement, que gagne la France avec cette entité scélérate après avoir fait sombrer son économie en suivant les USA dans leur guerre, par proxy, en Ukraine ? Elle perd aussi avec le sionisme. Participe-t-elle au financement des pertes d'Israel actuellement ? Face seulement à la résistance palestinienne, des analystes constatent déjà les pertes colossales que subit l'économie de l'occupant israélo-sioniste (39). Ils les estiment à 220 millions de dollars/jour, totalisant environ 18 milliards de dollars en 3 mois. Dans 5 à 10 mois (dit-on, selon LCI), le coût pourrait atteindre 50 milliards de dollars (soit 10% du PIB) et ce, sans que les groupes de résistance, dans l'expectative, n'entrent en guerre ! S'attend-elle à ce qu'Israël termine rapidement sa « guerre » en atteignant ses objectifs comme il le fait croire ? On ne gagne pas des guerres par des mises en scène, des propagandes ou des déclarations à l'emporte-pièce, comme c'est le cas des Atlantistes en Ukraine, reproduites par les sionistes en Palestine. Ces comportements dévoilent plutôt une impression d'échec qui galvanise l'adversaire. Lorsqu'on perd le sens de la morale, de la justice, de la mesure et les principes, les fondements s'effondrent et c'est la décadence. Dans le cas du sioniste, c'est la disgrâce de son idéologie colonialiste, son essence ; c'est-à-dire la dissolution d'Israël. Le mal est le fait de l'homme, il est temporaire. Il est toujours rattrapé par la justice qui lui fera payer ses méfaits. C'est comme si ces génocidaires et leurs soutiens ont été aveuglés par le même «oracle» qui les maintient dans leur impasse autodestructrice, afin de hâter eux-mêmes leur déchéance. Tant mieux ! A propos de justice et la plainte en cours auprès de la CPI, nous voilà revenus à l'époque du Far West ! Les Etats-Unis menacent la CPI (40) (et son personnel) si elle condamne Israel. Si ce génocide est reconnu, c'est leur poulain/gendarme, sur lequel repose leurs stratégies vitales, qui risque de disparaître !Si cette Cour ne condamne pas, malgré les preuves, alors l'holocauste, les génocides passés, la colonisation, l'esclavage etc. n'auront jamais existé! La suite risque d'être palpitante! Suite et fin….